L’esprit de Famille - Histoires de Sexe

L’esprit de Famille

... sera pas avant un ou deux jours.

Julie réfléchit rapidement puis rajouta.

- En attendant que cela se fasse, il faudra m'attacher fermement chaque soir car je ne voudrais pas qu'elle abîme mon corps.

- Bonne idée, je m'en chargerais.

*****

Edmond n'avait pas été très chaud lorsque Alexandre lui avait raconté ce qu'ils allaient faire pour renvoyer Julia. Il trouvait que c'était dangereux pour leur invitée mais comme il n'avait pas trop son mot à dire, il n'avait pas insisté.

Le soir venu, le maître de maison était venu attacher la jeune femme sur le lit, étonné qu'elle l'attende entièrement nue.

- Je dors toujours ainsi lui avait elle expliqué

- Tu es vraiment très belle...

Il lui avait attaché les chevilles et les mollets aux quatre coins du lit, l'écartelant au maximum pour qu'elle ne puisse pas se libérer.

- Tu sais, en partant loin d'ici, tu aurais pu éviter de subir tout ça

- Ça n'aurait pas aidé Julia.

L'homme ne put s'empêcher de caresser la jeune femme, laissant courir sa main sur sa cuisse magnifique avant de se ressaisir.

- Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris.

- Tu peux continuer si tu veux, c'est agréable.

La jeune femme s'était mise à tutoyer Alexandre comme si elle était Julia mais l'homme ne s'en rendit pas compte.

- Je ne peux pas, ce ne serait pas bien

- Pourtant tu l'as fait lorsque Julia avait pris mon corps.

- C'était différent... je...

- S'il te plaît, j'en ai envie...

Alexandre ne savait ...

... plus quoi faire, trouvant immoral le fait d'abuser de la situation. Pourtant le corps de la jeune femme l'attirait plus que de raison, lui rappelant ses jeunes années, à l'époque où il était fou amoureux de sa tante.

Il se remit à la caresser pour le plus grand plaisir de la jeune femme qui ferma les yeux pour se laisser aller. L'homme était émerveillé par autant de beauté et, n'en pouvant plus, il se dévêtit tout en fixant je jeune corps qui appelait au sexe.

Lorsqu'il s'allongea sur elle et qu'il la pénétra, elle poussa un long cri de jouissance alors qu'il ne venait que de commencer.

- Oui, prends-moi fort, fais-moi mal.

L'homme, excité, ne se le fit pas dire deux fois et il se mit à piocher dans la vulve avec force. Les cris qu'elle poussait à chaque coup de rein furent de plus en plus aigus et avant même qu'il ne se déverse dans son ventre, elle se mit à avoir des spasmes violents créés par un plaisir venant du plus profond de son être.

Alexandre resta quelques minutes en elle avant de se retirer pour la délivrer de son poids. Se relevant, il l'admira encore un peu alors que la jeune femme, reprenant ses esprits, le regarda en souriant.

- C'était vraiment très bon, maintenant libère-moi s'il te plaît.

- Te libérer! Mais c'est toi...

- Je sais mais je sens qu'elle ne viendra pas cette nuit et j'ai envie de bien dormir.

L'homme hésita un peu avant de se dire qu'elle avait peut-être raison et que cette position attachée n'était pas des plus adaptées ...