1. Léa, ma belle-fille 2


    Datte: 26/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... ce sera chouette ! »Léa se lève et va se mettre contre la baie vitrée, les mains posées sur la vitre, jambes écartées, les fesses en arrière. Un vrai appel au sexe ! Je m’agenouille pour lécher sa fente et son petit trou. Je me régale de son suc qui coule déjà de sa chatte. Je la fais pencher un peu plus, me relève et présente ma bite sur son trou.
    
    Je pénètre son antre. Bien serré dans cette chatte étroite, je pistonne Léa lentement, faisant ressortir ma queue pour mieux la replonger au fond de sa matrice.
    
    « Tu te régales coquine ! Imagine qu’un homme nous observe depuis un des appartements en face !
    
    Oh non ! C’est pas possible !
    
    Je suis sur que ça t’excite.
    
    Oui ! Non ! J’ai honte !
    
    Tu es belle et personne ne nous connaît. Profite de ce fantasme, ça fait partie du plaisir »Il n’en faut pas plus pour Léa n’éclate dans un premier orgasme. Je m’arrête, pour le plaisir de sentir les parois de son vagin se contracter sur ma bite, puis quand cela se calme je recommence. Par trois fois, Léa jouit avant que ses jambes ne lâchent. Je la soutiens, mais elle me veut dans sa bouche. Elle se retourne, saisie ma queue et agenouillée, bouche ouverte, attend sa récompense. Cette petite est une diablesse. A la main, je me finis et elle reçoit mon sperme qu’elle garde un peu sur la langue avant de l’avaler.
    
    A ce moment, je ne sais pourquoi, de façon impulsive je me tourne vers la baie vitrée et lève le pouce comme pour remercier un éventuel spectateur. A ma grande ...
    ... surprise, je vois une lumière s’allumer trois fois, comme un signal !
    
    Nous avions un observateur ! Je le signale à Léa qui tout d’abord veut s’échapper, mais je la persuade que celui, ou celle qui nous matait ne pouvait le faire qu’avec des jumelles à visée nocturne, c'est-à-dire qu’il nous voyait en vert et noir, ne pouvant nous identifier.
    
    Nous le saluons tous les deux de la main et le signal se répète. Sur ce, nous retrouvons notre lit, hilares !
    
    « Tu te rends compte que tu étais vierge il y a trois jours, que tu ne l’es plus, que tu te fais sodomiser par un vieux et que tu te montres en spectacle à des étrangers ! Je suis sûr que de nombreuses femmes ayant le double de ton âge, n’ont jamais fait tout ça !
    
    C’est de ta faute beau-papa ! Tu es un trop bon professeur et tu me fais aimer le sexe. »Le lendemain matin, au lever, une silhouette me salue à la fenêtre de l’appartement d’en face. Il lève son pouce à son tour, puis referme la vitre. Pour ne pas effaroucher Léa, je lui cache cet épisode, mais je me dis que cet homme, nous pourrions le croiser dans la station sans le reconnaître alors que lui nous connais. Je me promets de ne pas nous exposer dans une situation équivoque de jour et qu’il puisse nous compromettre.
    
    La semaine se passe avec un rituel. Le matin, nous ne skions pas. La nuit a souvent été longue (et le sommeil court) Nous jouons toute la matinée en restant nus, nous provoquant, nous suçant ou faisant l’amour dans tous les coins du chalet. Par ...
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