1. Léa, ma belle-fille 2


    Datte: 26/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... lèvres sont très proches et l’attitude franchement sensuelle. On ne s’est pas rendu compte de la chose sur le moment. Un regard aiguisé, pourrait soupçonner notre relation.
    
    « Elle est très jolie. Pourquoi ne pas la garder ? Plaide Léa.
    
    Tout le monde n’a pas l’esprit tordu, mais il suffit d’une seule personne pour introduire un doute.
    
    Mais après tout, tu es mon second papa et c’est normal que je t’embrasse !
    
    Avec ce regard énamouré ?
    
    Tu trouves ?
    
    Oui ! C’est très flatteur mais… S’il te plaît, supprime-la !
    
    Ok ! Je vais la supprimer. Bon, les autres, on peut les envoyer à maman ?
    
    Oui. Envoie-les-moi aussi. »
    
    Au retour de notre séjour, en entrant au salon, on va se retrouver au salon face à l’une des photos que sa mère a déjà agrandie, imprimée en grand et mise sous cadre. Elle l’a posée bien en évidence sur le bahut. On est restés scotchés quelques secondes. Estomaqués. Pour ma part, je « voyais » clairement notre complicité. J’étais tellement surpris que j’ai cru me trahir, d’autant que Léa était comme moi. Le regard que nous avons échangé alors était chargé autant de stupeur que de panique. Heureusement, ma femme, loin de se douter de la raison de notre mutisme, et toute heureuse de notre stupéfaction, lance :- « J’adore cette photo ! Vous êtes très mignons la dessus. Bien bronzés, heureux d’être tous les deux ! Je suis très heureuse que vous vous entendiez comme ça maintenant ! »Bien sûr, nous avions décidé d’arrêter là notre relation et nous nous ...
    ... y sommes tenus depuis, mais je suis sûr qu’à ce moment là, nous devions être rouge cramoisi ! Heureusement notre bronzage atténuait cela. Nous avons évité un bon moment de nous regarder et je sentais la chaleur en même temps que les battements intenses de mon cœur. Je suis sûr qu’il en était de même pour Léa. Nous étions comme à deux doigts d’une catastrophe qui aurait ruiné notre vie et celle de celle que nous aimons tous les deux. Je tremblais, Léa tremblait, à la limite des pleurs. Ma femme elle, continuait à babiller, inconsciente du drame qui se jouait. J’avais l’impression qu’elle allait ouvrir les yeux ! Se rendre compte que nous n’étions plus naturels, que quelque chose de grave s’était passé, mais non. Toute heureuse de nous retrouver. De nous voir bronzés elle n’a pas eu l’ombre d’un doute. Léa, et c’est sûrement la force des femmes, s’est reprise la première et a détourné la conversation sur le couple qui avait pris la photo et sur les heures de ski « super extras » qu’elle avait passées grâce à moi.
    
    Ce jour là donc, après l’envoi des photos, j’ai appelé aussitôt ma femme pour la prévenir et lui raconter la journée. Bien sûr, je cache l’activité du matin et fais comme si nous avions fait notre balade de la grande combe, depuis le matin. Je connais assez celle-ci pour « inventer » plusieurs itinéraires différents. J’insiste sur le fait que maintenant Léa se débrouille bien et n’hésite plus à faire du hors piste.
    
    « Tu es un bon prof ! Je suis contente que vous ...
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