A1, à 2 à 3 c'est mieux
Datte: 26/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MG8895, Source: Hds
... bandais déjà très fort.
Elle avança davantage son siège pour que je puisse lisser son anus. J’avais son trou sur ma langue tendue, aucun son ne sortait de sa bouche, seuls, les bruits de succions sur sa chatte mouillée et de cul huilé par ma salive, résonnaient. Elle me dominait et ça, elle adorait. Je tentai de lui prendre les seins mais, elle les plaqua à hauteur de ma tête. J’étais son jouet, sa chose, je lui bouffais sa chatte et son cul qui lui engendrait une jouissance interne mais invisible. Ses yeux révulsés la trahissaient.
Derrière, l’intrigant cadre qui ornait un pan de la pièce, se trouvait Monsieur. Je ne l’apprendrai que plus tard. Il nous regardait, entièrement nu, en se masturbant, confortablement installé dans un large fauteuil. Il ne pouvait plus éjaculé mais éprouvait un certain plaisir. Il s’était placé un toy dans l’anus et jouissait comme il pouvait. La scène dont il se délectait, le comblait. Voir son épouse se donner du plaisir et se faire prendre par un inconnu, le ravissait.
Madame a joui mais elle en voulait plus. Elle me déshabilla rapidement, arrachant presque mes habits. Elle se jeta sur mon membre, se l’enfonça au fond de sa gorge. A chaque retrait, des fils de bave salivaire reliaient ma queux à sa bouche, elle me fit gicler très rapidement, avalant goulument ce jus blanchâtre et gluant. Sa langue n’en laissait aucune goutte, me pompant le nœud frénétiquement.
Sans répit, elle est venue s’empaler, montait puis descendait le long ...
... de ma tige, faisant ressortir à chaque va et vient, mon gland pour racler son clitoris et pour se faire jouir. Elle coulait de jus, de cyprine. Elle souillait de sa mouille mes testicules que je sentais couler le long de ma raie, jusqu’à mon anus. C’était divin.
Elle quitta ma tige pour me pratiquer un anulingus royal. Elle flirtait à l’aide sa langue avec mes stries anales, ses doigts bien mouillés, s’aventuraient et virevoltaient dans mon intimité. Elle massant doucement mais fermement ma petite noix. Je jutais de précum, ses palpations prostatiques me mettaient en transe et je jouissais, perdant tout repère. Elle me branlait rapidement, me léchait les couilles, repartait vers l’anus pour revenir, endiablée, sur mon gland sorti de son fourreau, pour me happer et enfourner mon chibre au fond de sa gorge.
- Crache maintenant, je veux ton jus, je veux ton sang, je veux te pomper et te vider les burnes.
Elle était comme possédée, hystérique, les yeux retournés, elle se doigtait la chatte comme une dingue, elle finit par jouir en se tordant de plaisir, en râlant et en hurlant. Des soubresauts la secouaient et la torturaient d’orgasmes torrides.
Mon foutre s’est mis à gicler, ses deux doigts dans mon cul pour me presser la prostate et faire sortir la totalité de ma semence. Elle se tartina la bouche de mon nectar, se lécha les doigts, pour s’écrouler ivre de fatigue.
Monsieur sortit de son repère d’observation, pour venir nous rejoindre, mais ça, c’est une autre ...