Les exploits d'un jeune Don Juan involontaire - Histoires de Sexe

Les exploits d'un jeune Don Juan involontaire

... coups de bite de véritables ruées et d’admonestations explicites :

— Continue, encore, t’arrête pas surtout !

Il répondit à la demande avec toute la vigueur de ses vingt-cinq ans, la prit par-derrière, se laissa chevaucher, se régala du spectacle de cette femelle trentenaire en proie à l’extase grâce à sa queue et attendit, en bon amant, qu’elle culmine dans l’orgasme pour envoyer la purée sur son pubis foisonnant de brune. Elle eut alors le mot qui satisfait toujours l’ego d’un mâle :

— Merci, c’était super.

Nicole arriva peu après, main dans la main avec son Kléber, aussi nus l’un que l’autre :

— Ah, on a bien baisé, j’espère que vous aussi, déclara-t-elle, comme si elle parlait d’un déjeuner sur l’herbe. Elle fut d’autant moins démentie qu’Anne-Marie répondit en embrassant Mario sur ses lèvres.

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Les jours suivants, Anne-Marie et Catherine étaient parties en vacances d’été, si bien que Mario se retrouva seul à la cafétéria avec Nicole, dont les congés étaient programmés pour plus tard. Mario en était ravi, car cette situation lui permettait une plus grande intimité avec la secrétaire de direction. Celle-ci, toujours aussi bavarde, s’épanchait également. Entre diverses considérations sur la température du jour, les questions de travail et les collègues de bureau, elle aborda le sexe, sujet qui semblait l’intéresser particulièrement, et notamment les relations de Mario avec Anne-Marie :

— Tu as dû vraiment la régaler, car elle n’a pas arrêté de ...

... me parler de toi. Elle t’a dans la peau. Mais je t’en supplie, préserve son couple. Ne va pas te lancer dans une histoire qui ferait son malheur et le tien.
— Cela n’a jamais été mon intention. Et je te rappelle que c’est toi qui m’as incité à la baiser.
— Oui, c’est vrai, parce qu’elle avait besoin de s’éclater. Objectif atteint, je dois dire. Mais il faut que ça reste une histoire de cul, hein ?
— Apparemment, tu sais de quoi tu parles…
— Ah, tu as entendu les ragots à mon égard. Ne les écoute pas, c’est très exagéré.
— Tu ne baises pas avec le patron ?
— Dis donc, tu as du culot. Est-ce que ça te regarde, avec qui je baise ?
— Pardon. C’est donc totalement faux, ces ragots.
— Euh, pas tout à fait, c’est vrai. Mais juste une pipe de temps en temps pour faire baisser la tension patronale. À la limite, ça fait partie de mon boulot., rigola-t-elle.
— Je ne voyais pas l’assistance de direction sous cet angle.
— Tu gardes ça pour toi, hein ? On est dans le même camp maintenant puisqu’on s’est tous vus à poil, toi, moi et Anne-Marie.
— Et je t’ai même entendue baiser avec ton mari. Tu n’es pas discrète quand tu jouis.
— C’est l’avantage de baiser en pleine nature. Bon, on arrête là, car je commence à m’échauffer. Et on a du boulot cet après-midi.

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Ce samedi-là, jour de repos, Mario s’apprêtait à se cuisiner une boîte de petit pois avec du jambon de Bayonne quand on frappa à sa porte. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir Nicole chargée de deux pizzas ...