1. Perrine


    Datte: 24/06/2024, Catégories: f, h, fh, ff, fff, hh, fhhh, grp, jeunes, inconnu, copains, sauna, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, totalsexe, Auteur: Ambre D'Anot, Source: Revebebe

    ... torse et un fil relié à un ordi.
    
    Perrine reprit :
    
    — Je n’y croyais pas trop et elle me dit oui. Je voyais défiler dans ma tête tout ce qui me travaillait depuis si longtemps. Voir des gens baiser, être à poil dans un contexte sensuel, des bites, du sperme, du plaisir, tout quoi ! J’eus du mal à m’endormir ce soir-là. Je me masturbais discrètement pour calmer mon excitation et finit par plonger dans un sommeil peuplé d’hommes et de femmes me regardant, bandant, mouillant, se masturbant.
    
    Wendy sourit :
    
    — Tu sais, Perrine, tu es aussi discrète que Nora quand tu te masturbes !
    
    Elle regarda cette dernière qui lui avait mis la main sur sa cuisse et remontait petit à petit.
    
    Elle continua :
    
    — Pendant qu’elle se donnait un discret plaisir bien agité, j’ai écrit à unsexfriend qui accepta de venir discrètement, rester près de nous et ne pas se faire connaître. Je lui ai donné rendez-vous au sauna à 17 h, heure de sortie des bureaux assez propice à de la fréquentation des lieux en semaine.
    
    Perrine la regarda, les yeux écarquillés.
    
    — Tu as fait ça ? Je n’ai rien vu !
    — Ouais, rigola Wendy, mais tu l’as bien senti !
    — C’était qui ?
    — Plus tard, ma belle. Donc le lendemain, nous étions à 9 h au Louvre, à 13 h au cinquième étage de Beaubourg et à dix-sept heures, nous franchissions la porte du Sauna.
    
    On sentait dans la salle un discret retour aux sources. Les mains redescendaient vers des entrejambes visqueux et des mandrins poisseux des précédentes ...
    ... agapes, mais doucement.
    
    — À peine entrées, alors que la personne chargée de la caisse nous distribuait des peignoirs, je remarquai que mon ami, sorte de copie bouclée de Julien Clerc à ses quarante ans, était en train de dévisager Perrine en sirotant un café. Je lui ai fait un clin d’œil, il m’a souri, et nous sommes allées nous déshabiller. Notre arrivée semblait avoir fait sensation si j’en jugeais, en fille avertie, les déambulations autour des vestiaires qui étaient un peu en retrait. Nous nous sommes déshabillées et dirigées vers les douches afin d’y laisser toute notre transpiration muséale de la journée. Mais la fête était déjà commencée.
    
    Perrine, les yeux brillants et l’esprit rentré à Paris, reprit :
    
    — Dans la douche, collective bien sûr, une femme d’au moins soixante-quinze ans, branlait et suçait alternativement des queues de mecs d’à peu près mon âge. J’étais fascinée, et heureuse que les normes que l’on voit dans la société n’aient pas cours ici. Le plaisir semblait roi. On s’est douchées en regardant le spectacle. Un des garçons avait enfilé deux doigts dans la chatte de la femme, chatte recouverte d’une abondante toison blanche. Je me suis approchée, prête à participer. Déjà, une main se posa sur mon derrière, mais Wendy m’a tiré le bras et m’a tendu mon peignoir : « Sèche-toi et viens ». Et elle m’a entraînée dans les couloirs sombres. Au fond, un salon de télé, avec une scène porno de baise pépère. Par contre dans la salle c’était chaud. Une femme était ...
«1234...»