1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 5 : trio


    Datte: 23/06/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... qu’il fasse nuit noire. D’après mes calculs, le mari devrait mettre une heure et demie pour nous retrouver, compte tenu des embouteillages et des travaux, il va devoir un long détour.
    
    • Vous êtes des salauds ! Vous le saviez et vous n’avez rien dit. Ce n’est pas correct !
    
    • Nous voulions être tranquilles avec toi.
    
    • Il n’était obligé de dire oui. Je n’arrive pas à comprendre quel plaisir on trouve à voir sa femme baiser devant soit
    
    • Là c’est encore pire. Il va seulement pouvoir l’imaginer
    
    • Elle lui racontera ! En attendant, il ne va pas être déçu, ce cocu de Français !
    
    Malgré l’envie qui me tenaillait, j’ai réagi vivement :
    
    • Nous sommes ici pour baiser et vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez. La seule chose que je vous demande, c’est de respecter mon mari. Personne n’a le droit de le juger et de l’insulter. Ca vous parait peut-être étrange, mais je l’aime !
    
    • Ne te fâche pas. Après tout, ça vous regarde. Du moment qu’on peut te baiser !
    
    Et ils ne sont pas privés, jusqu’à la tombée de la nuit de me faire tout ce que trois hommes peuvent faire à une femme, ensemble ou séparément, ce qui leur permettait de reprendre des forces, même s’ils étaient particulièrement endurants. Quant à moi, j’étais insatiable, me comportant en femelle totalement offerte aux désirs des mâles.
    
    • Promis, on sera respectueux de ton mari. Par contre toi, je suis certain que tu aimes qu’on dise ce que tu es, n’est-ce pas, petite putain ?
    
    Je baissais les yeux, ...
    ... en signe d’acceptation de cette remarque d’Alexis. Oui, dans cette situation, j’aime entendre des mots crus et être traitée en salope.
    
    • Approche toi et mets-toi à genoux ! Tu vas nous sucer à tour de rôle. Alexis nous a dit que tu étais la reine de la pipe.
    
    Je connaissais déjà bien la queue d’Alexis et j’avais envie de celle de ses deux compères, dont la taille était prometteuse. Je commençais par la verge de Sotiris, sur laquelle je me jetais comme une morte de faim. Les deux autres ne se contentaient pas de mater. Demetrios savait, par Alexis, que ma poitrine était chez moi une zone particulièrement érogène. Ses caresses étaient diaboliques, il a empaumé mes seins, puis sa langue est venue triturer mes tétons. Quant à Alexis, ses doigts se mirent à fouiller ma chatte et à branler mon clito.
    
    Je ne mis pas longtemps à faire perdre la tête à Sotiris.
    
    • Alors, Sotiris, c’est comment ?
    
    • Exceptionnel, ses lèvres serrées autour de ma tige, sa langue qui triture mon gland. Elle me prend bien à fond. Bouffe-moi les couilles, salope !
    
    • Moi je peux vous dire que sa chatte est béante et trempée. Elle est prête pour une bonne saillie
    
    Sotiris prit ma tête à deux mains et m’imposa brièvement un coït buccal, qui tournait à la gorge profonde. Je manquais de m’étouffer, les larmes me coulaient, mais je ne lâchais pas prise.
    
    Alexis siffla la fin de la récréation, à la grande satisfaction de tous, car les mâles comme moi-même nous voulions autre chose.
    
    Sans qu’on ...
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