1. Premier plaisir d'être cocu


    Datte: 22/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Le Poète, Source: Hds

    ... spectacle. Désiré, lui, profitait de cette bouche qu’il envahissait violemment sans dire un mot. Seule sa respiration saccadée témoignait de son plaisir.
    
    Au bout de quelques minutes, Muriel se tourna vers son mari et lui dit haletante, j’ai envie qu’il me pénètre, de le sentir dans mon ventre, de me sentir sa proie. Gérard répondit d’une voix troublée, vas-y ma chérie, j’ignorais la jouissance d’être cocu, j’ai peut-être encore plus envie que toi qu’il te prenne. J’aime te voir jouir dans les bras d’un étranger. Il n’y a rien de meilleur et je ne le savais pas.
    
    Muriel saisit Désiré par la main et l’entraîna vers la chambre. Gérard les suivit, le cœur battant, et s’assit sur une chaise face au lit et aux deux amants.
    
    Après avoir enlevé nerveusement ses vêtements, Désiré se tenait debout, hésitant le sexe érigé, le regard fixé sur la chatte rasée que Muriel lui présentait, allongée sur le dos écartant largement ses cuisses. Elle lui dit d’une voix rauque « Viens en moi, je veux que ta belle queue me pénètre fort et loin, je veux t’appartenir. Je t’ai eu dans ma bouche, je veux t’avoir dans mon ventre »
    
    Gérard à son tour l’encouragea de la voix. Vas-y Désiré, je le l’offre, elle est complètement à toi. Donne-lui ce qu’elle veut. Elle veut être ma putain et j’adore. Prends-la sans ménagement, défonce-là, fais-la gémir et crier. »
    
    À ces mots, Désiré, le souffle saccadé se jeta sauvagement sur ce corps dénudé, l’écrasant sous son poids, ses grosses lèvres cherchant ...
    ... la bouche ouverte pour l’envahir d’une langue ravageuse.
    
    Muriel se sentit brusquement tout frêle dans ces bras vigoureux et eut la sensation étrange de subir un viol et d’aimer cela. Elle se donnait à ce mâle puissant plus femelle que femme, esclave de ses sens.
    
    Tout aussi brutalement, la bite dure qu’elle sentait sur son ventre força le passage de sa fente trop étroite pour un calibre de cette taille. Elle poussa un grand cri et regarda son mari comme un appel de détresse, mais lui profitait manifestement du spectacle. Son vagin maintenant distendu sous les va-et-vient puissants d’un chibre en folie se lubrifiait et l’onde de son plaisir l’envahissait et augmentait au point d’aimer follement ce mâle qui la violentait. Oui, elle l’aimait d’autant plus que c’était la volonté de son mari, ce qui décuplait son plaisir.
    
    Son esprit l’entraînait dans un délire sexuel inouï. Elle ferma fortement les cuisses pour sentir mieux encore cette bite pourtant énorme et remuait le bassin comme pour la malaxer avant d’en recueillir le jus. Reconnaissante, elle serrait convulsivement la main de son mari, qui s’était approché pour mieux profiter de ce moment privilégié où sa femme s’abandonnait complètement à cet autre.
    
    Comme Désiré semblait arriver au paroxysme de la jouissance et Gérard qui s’en était aperçu, l’encouragea.
    
    Vas-y, tu peux jouir en elle, elle prend la pilule. Inonde-là de ton sperme. Elle aimera cela, j’en suis sûr. Ne te retiens pas. »
    
    À ces mots, Désiré en ...