1. COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison II (6/8)


    Datte: 21/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    J’ai toujours craint, lorsque j’ai suivi Corinne vers la prostitution, qu’un jour je tomberais sur une personne de connaissance dans mon autre vie celle de prof des écoles.
    
    Certes, je suis une prostituée qui se vend au plus offrant depuis quelques mois grâce à madame Claudette qui gère nos rendez-vous.
    
    J’en ai eu aux quatre coins de la France et du monde, limitant le risque d’en rencontrer un.
    
    Pourtant, c’est ce qui est arrivé, au bord de l’océan atlantique sur l’île de la Jamaïque.
    
    J’ai la malchance d’avoir attendu mon client à l’aéroport Charles de Gaulle, étant dans l’incapacité de partir avec moi.
    
    Il a brillé par son absence au moment du départ, retardé par un problème à régler à son travail.
    
    C’est du moins ce que m’a dit madame Claudette ayant réussi à me joindre et me demandant de partir seule, mon client qui semble avoir des moyens devant me rejoindre dès le lendemain.
    
    Payer 30 000 € pour avoir une salope dans son lit, je savais que ce devait être un homme friqué, bedonnant certainement.
    
    Tous ceux qui ont payé cher souvent l’étaient.
    
    J’ai eu un peu de mal les premières fois, mais depuis, seul le chiffre qui m'a été donné par madame Claudette, m'a motivée à partir.
    
    C’est là ma malchance, si j’avais vu Paul, le papa de Clarisse, une élève nous ayant quittés en cours d’année, car frappé d’une maladie orpheline à l’aéroport.
    
    Je me serais sauvé et manquant moi aussi mon vol pour le soleil.
    
    Quand Paul m’a vue sur cette plage, il était ...
    ... trop tard surtout qu’un client de l’hôtel s’en est mêlé ce qui a envenimé la situation.
    
    Ça fait quatorze jours que nous faisant semblant d’être un jeune couple amoureux, elle plutôt jeune femme réservée pour éviter tout contact.
    
    Il fait nuit, demain nous rentrons, je suis sur la terrasse en chemise de nuit affriolante en soie que j’avais dans mes valises avec pour but d’exister celui qui aurait dû me baiser pendant cette quinzaine.
    
    Je regarde le reflet de la lune sur la mer, lorsque j’entends que l’on me parle.
    
    C’est Paul qui m’apporte une coupe de champagne, grâce aux rayons, je vois qu’il a l’air apaisé alors que tout le long de notre séjour, il avait l’air d’un bulldog renfrogné.
    
    • Je voulais m’excuser de la façon dont j’ai réagi lorsque j’ai compris que celle que je portais au pinacle en s’occupant d’enfant était à ces moments de liberté une escorte qui se vendait au plus offrant.
    
    J’ai beaucoup réfléchi, pendant ces quinze jours et certaines nuits où je t’ai regardé dormir.
    
    Je pense que si tu es tombée dans ce milieu, c’est lié à des problèmes de fric.
    
    Peut-être, peux-tu me dire que tu as commencé comme certaines jeunes filles à te prostituer pour payer tes études et que le fric t’a tourné la tête ?
    
    J’aurais dû le comprendre et passer ces deux semaines comme nous avions prévu de le faire.
    
    • Veux-tu que je sois franche, je suis loin d’être Causette dans les misérables ?
    
    Je me suis prostituée entraînée par mon amie Corinne et un peu de ta ...
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