Une expérience inattendue - Histoires de Sexe

Une expérience inattendue

... accompagnant de la plante de son pied les spasmes de son sexe.

Muet jusqu’à Paris, il se résolut à l’aborder sur le quai de la gare. Incapable de bredouiller quoi que ce soit de cohérent ni même d’à-peu-près intelligible, il fut ravi de répondre à un signe de tête qui l’invitait à la suivre.

Installé dans un confortable sofa d’un vaste appartement, il examinait cette femme tout en essayant de garder bonne contenance au fil de la conversation tout à fait banale qu’elle avait entreprise. C’était une belle femme, 45 ans sans doute, de longues jambes, une poitrine qui décidément le faisait chavirer, de longs cheveux bruns qui soutenaient un regard pénétrant, deux grands yeux verts… Il eut le plus grand mal à conserver son aplomb quand elle lui demanda s’il se masturbait souvent :

— Oui… Enfin… je veux dire, comme tout le monde je pense…
— Tu penses parfois à des femmes de mon âge ?
— … Je dois dire… Je dois dire que oui… enfin… vous êtes très belle.
— Tu rêves sans doute de les voir évoluer comme si tu n’étais pas là, de les surprendre dans leur intimité ?
— …

Sans ajouter un mot de plus, elle ôta sa veste de tailleur, puis sa chemise blanche, un soutien-gorge de résille noire qui libéra deux énormes seins blancs aux aréoles brunes. Elle laissa glisser sa jupe, puis un tanga assorti au soutien-gorge, dévoilant une toison brune abondante :

— Je vais faire comme si tu n’étais pas là… Masturbe-toi !

Elle alluma la télévision, jeta un coup d’œil inquisiteur à ...

... Sébastien qui dégagea sa queue déjà raide de son boxer souillé par ses exploits du voyage. Il saisit sa verge à pleine main et se masturba en l’observant : ses cuisses, ses seins lourds qu’il devinait légèrement moites, perlant de sueur. Elle se leva pour prendre en s’accroupissant un DVD, exposant aux regards de Sébastien un sexe rose couronné d’une épaisse toison brune, un anus parfaitement épilé, des cuisses à demi-nues gainées par ses bas. Elle retourna s’asseoir, laissant ses deux seins se balancer mollement.

Comme s’il n’était pas là, elle saisit l’un de ses deux seins à pleine main pour examiner une légère éraflure que lui avait laissé son soutien-gorge. Assise, distraite, elle posa l’un de ses pieds sur le canapé, laissant voir les lèvres de son sexe glisser l’une contre l’autre. Enfin, écartant les cuisses, parfaitement impudique, elle examina un grain de beauté qu’elle avait à la pliure de la cuisse. C’en fut trop pour Sébastien qui déchargea une nouvelle fois, maculant le plancher à l’anglaise de sperme chaud.

Elle lui sourit :

— Il ne t’en faut pas beaucoup ! À mon tour maintenant… Tu ne crois pas ?

Quelques instants plus tard, il se trouvait à genoux devant elle, face à un sexe largement ouvert, humide, dont les poils débordaient largement sur les cuisses. Il le lapa longuement, savourant son goût et son odeur, avalant ses liqueurs ; il s’enhardit jusqu’à pétrir ses deux seins, immenses, fermes et sensibles. Il se sentit ensuite tiré vers le haut dans ...