Retrouvailles avec ma cousine
Datte: 15/07/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Ling79, Source: Hds
Ma cousine
Cela fait presque quarante ans que nous ne nous étions pas revus, en dehors d’une ou deux rencontres lors de décès dans la famille ; après plusieurs appels, j’ai réussi à la décider de passer quelques jours à la maison et nous y sommes.
Marie Thérèse est ma cousine germaine et nous avons passé une grande partie de nos vacances ensembles, ses parents tenant un joli café à Cabourg ; pour moi c’était de grands moments, pêche à pied, baignades, sortie avec ses amis ; mais aussi et peut-être surtout la découverte des jeux entre cousins du même âge ; avant de perdre notre pucelage ensemble lors d’un anniversaire chez un copain. L’aventure a duré pendant deux ans, moment où nous avons découvert les méandres de la sexualité, pour notre plus grand plaisir. Les études, à Paris pour moi, puis mon installation nous ont séparé, et le temps passant nous nous sommes perdus de vue, et je le regrette encore.
Passées les effusions de rencontre, et la connaissance de Marie avec ma compagne, de longues conversations nous remémorent le passé et c’est ainsi que Nini apprend nos jeux et notre plaisir. Il faut reconnaitre que Marie avait un sacré tempérament, ne repoussant pas les conquêtes, qu’elles soient masculines ou féminines. Après deux jours de promenade, dans notre beau Marais Poitevin, nous profitons du beau soleil pour nous détendre en prenant un Jacuzzi.
Quand elle nous rejoint, je peux constater qu’elle a encore de belles formes, malgré ses 60 ans ; son mini ...
... maillot cache à peine de jolis seins, dont les auréoles débordent du tissu et dont les pointes sont visibles ; manifestement elle a entretenu son corps et son fessier est encore bien tendu. Cependant, en principe, nous prenons ce bain totalement nu ; pour la circonstance, nini a simplement quitté le haut. Quand Marie le découvre, en riant, elle nous dit : « je suppose que le maillot est de trop ! » et aussitôt elle quitte l’ensemble et sans complexe, elle nous rejoint, totalement nue, découvrant ainsi un pubis totalement rasé. Aussitôt nous en faisons de même, et quand je retire mon slip, il est facile de voir que le tableau de Marie nue m’a beaucoup plu. Je plonge aussitôt sous l’eau, sous le rire des deux femmes ; rien ensuite jusqu’au lendemain.
7h ; nini est déjà partie au travail, et la maison est silencieuse ; tranquillement, je me lève pour le petit déjeuner, selon mon habitude, totalement à poil ; alors que je rentre dans la salle de bain, je constate que j’ai oublié la présence de Marie ; elle vient de prendre sa douche, et elle s’essuie tranquillement. Trop tard pour m’esquiver, elle m’a vu et cela ne semble pas la gêner, car me tendant sa serviette elle me dit « puisque tu es là profite s’en pour m’essuyer le dos, et se tournant, elle me présente, non seulement son dos, mais surtout son fessier, dodu, provoquant. Pour moi la situation devient dangereuse, car si je m’applique pour lui sécher le dos, mon appendice a pris du volume et je n’ose pas trop m’approcher ...