Timide mais coquine, une soirée d'intégration tourne a l'infidélité - Manon D.
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: FreeSnap_Dan, Source: Hds
... très girly avec des peluches et coussins de toutes les tailles dans des notes de blanc et rose. La soirée continua un peu, et je bus plus que de raison, développant une bonne complicité avec notre hôte qui semblait perdre la timidité qu'elle arborait quotidiennement. Manon me servait encore, allant jusqu'à finir la bouteille dans mon verre en souriant avant de nous proposer de nous ramener. Elle avait une belle voiture dans laquelle nous montâmes tous, et après avoir déposés nos compères elle me guida à ma voiture, toujours stationnée en ville. Profitant de notre proximité et de ce soudain isolement je tentais le tout pour le tout et, mon coeur s'emballant, je posais la main sur sa cuisse, lui avouant avoir trop bu pour prendre la voiture ce soir.
Une petite pause, un sourire gêné, et ma main toujours sur sa cuisse et enfin le soulagement : elle me proposa de dormir chez elle pour cette nuit, mais je devrais me lever tôt car elle serait en visio avec son mec le lendemain. Quelques minutes plus tard, nous montions les escaliers de sa résidence, je matais sans discrétion ses fesses à hauteur de mes yeux, mon désir devenant de plus en plus palpable. Je marchais derrière elle, je sentais ses effluves de parfum et d'alcool, et je me tenais trop proche quand elle ouvrit la porte de son studio. Je la pris par la taille, quand elle refermait sa porte et je l'ai guidé contre le comptoir de sa cuisine. Je me suis plaqué derrière elle, mes mains glissant sur son ventre et mes ...
... lèvres impatientes cherchant son cou et des joues entre les mèches de cheveux. Comme je la pressais contre le marbre blanc elle laissait échapper des petits gémissements de surprise ou d'excitation qui m'enivrait autant que son odeur et sa douceur. Mes mains parcouraient son corps : son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses bras et ses épaules étaient sans cesse sollicités tandis qu'elle se penchait en avant en cherchant à se retourner. Son fessier se collait contre mon sexe et dans l'excitation ma main enserra doucement son petit sein que j'épargnais jusqu'alors, un délice de courbes et de mollesse s'offrait à moi et tout mon corps y répondait, j'étais brûlant, haletant et déjà dur comme le roc. Ses mains me repoussèrent delicatement, enserrant mon bras qui la plottait. Elle se retourna doucement, frottant son corps contre le mien. Son visage était rouge, elle haletait et gémissait d'excitation, je l'avais surprise et ça lui avait plu. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau moite sentait encore le bonbon, je la maintenais contre moi en plaquant une main dans toute la largeur de son dos, l'autre repoussait ses cheveux pour me permettre de baiser son cou et ses joues moelleuses couleur ambre. Elle était si fine, si belle, si distinguée et je mourrais d'envie de la pilonner sur son lit de princesse. Je la contemplais et l'embrassais alors, langoureusement, goûtant avidement ses lèvres, sa langue, sa bouche. Ses mains passaient sur mes fesses, sur mon dos, dans mes cheveux et je me ...