Les vacances au portugal
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
fh,
voisins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: lamenacemax47, Source: Revebebe
... les pince entre mon index et mon majeur. Mon gland ne fait que de petits mouvements pour ne pas la pénétrer totalement. Pendant ce temps, sa main accélère, elle masturbe frénétiquement son clitoris. Je n’ai même pas le temps de profiter du massage de son anus sur mon gland qu’elle part dans un nouvel orgasme qui fait tressauter son corps, et crier de bonheur. Mon sexe est expulsé d’elle quand elle s’étale sur la table totalement vaincue par ce traitement. Son anus fait la taille d’une pièce de deux euros, un joli petit trou noir, qui tressaille.
Je reste là, mon membre levé, emballé dans son plastique, à regarder ce corps splendide échoué sur cette table qui vient de vivre un beau moment. On croirait que j’ai gagné une bataille, avec mon arme toujours tendue, mouillée du liquide de mon adversaire. Au bout de quelques secondes, elle se retourne, retire totalement son top, enlève short et culotte de ses chevilles, et se présente totalement nue devant moi. Elle est tout bonnement superbe. Ses seins s’exposent fièrement à mes yeux, généreux et fermes. Elle enroule ses cheveux en une sorte de tresse qu’elle fait retomber le long de son corps, et me pousse sur le canapé. Quand une femme attache ses cheveux, c’est que ça devient sérieux. Elle pose un coussin à mes pieds, pose ses genoux dessus, retire le préservatif, et vient prendre mon sexe en bouche. Je suis aux anges, le monde autour de moi disparaît, c’est trop bon, j’étais déjà pas loin de finir tout à l’heure, mais ça, ...
... ça va m’achever.
— Je ne vais pas tenir longtemps.
Je suis aspiré et masturbé simultanément. Ses yeux verts me supplient de me déverser dans sa bouche. Son regard est un appel à lui donner ce qu’elle désire. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais c’est trop peu, alors que j’aurais souhaité que ce soit jusqu’à la fin de mes jours. La situation est intenable. Je me lâche sans me retenir, dans sa bouche, en plusieurs giclées. Elle maintient mon sexe en bouche et avale tout pour mon plus grand bonheur. Je ne sais plus où je suis, je sais jusque qu’une femme splendide vient d’avaler ma semence. Elle appuie sur mon sexe pour en récolter le plus possible, presse mon sexe du bas vers le gland et, délicatement, sa langue vient nettoyer mon membre qui s’avoue vaincu et perd de sa superbe. C’est un sexe un peu ramolli qu’elle retire de sa bouche en aspirant ce qui reste.
Elle se lève fièrement, avec, je trouve, une certaine classe, et se rhabille. Ses fesses reviennent se placer dans ce short moulant, ses seins dans ce top serré. Elle se dirige vers la fenêtre, et se met à rire. Je me lève, le sexe pointant vers le bas, me rapproche d’elle et je vois nos chiens en train de copuler.
Nous éclatons de rire.
Quand nous reprenons notre calme, je me rhabille, sans parler, prends la laisse du chien, sors et l’attache.
— À demain même heure ?
Je souris, je n’ai pas tout compris à ce qui vient de se passer, mais je hoche la tête. Évidemment que je veux bien revenir ...