1. COLLECTION SM. Accro au sexe violent (2/6)


    Datte: 17/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... merci !
    
    • Pourquoi me remercies-tu ?
    
    • Souviens-toi, hier après que je t’ai douché, tu t’es agrippé à moi et pour la première fois j’ai mis ma bite dans ta bouche après que tu me l’aies sorti.
    
    Je voyais bien que tu étais dans un état anormal, mais tu t’accrochais à ma verge et tu m’as emmené sur ton lit.
    
    Tu voulais que je te baise, dans ton délire, tu m’appelais Ludovic, j’étais puceau, je reconnais que je t’ai cédé me rendant compte lorsque je suis entrée en toi que tu étais, toi aussi vierge.
    
    Regarde, il y a du sang sur les draps.
    
    Je voulais me retirer, mais tu m’as bloqué avec tes jambes et j’ai réussi à me libérer pour éjaculer sur ton ventre.
    
    Voilà comment s’est passée ma première nuit d’amour, sans être porté sur le sexe, j’avais quelques envies.
    
    Mais je révais, certainement parce que maman, m’y encourageais à me donner à celui qui serait l’homme de ma vie.
    
    J’ai dû emmener mes draps dans la buanderie commune à tous les étudiants où je les ai lavés effaçant les traces de ce que j’avais accepté de faire pendant ce trou noir.
    
    Au vu de mes premiers écrits, indirectement ce fut l’homme de ma vie, parce qu’il m’a épousé et que quinze mois après ma robe blanche, qui a su dans le village l’accro au sexe violent que j’allais devenir.
    
    Je l’ai resucé, il m’a refait l’amour la douleur que j’ai ressentie s’est estompé au bout de quelques secondes et il m’a fait jouir.
    
    J’avais conscience que nous avions baisé sans protection, pour les maladies ...
    ... transmissibles, il était trop tard.
    
    Mais si comme il me l’a dit, nous étions puceaux tous les deux, le risque était infime.
    
    Ayant cours à dix heures, je me suis rendu à la pharmacie pour la pilule du lendemain avec une ordonnance pour quatre mois de contraceptif.
    
    À partir de ce moment, j’étais protégé de toutes grossesses intempestives.
    
    Les photos terminées, j’ai attendu un message de mon mentor, mes réserves s’amenuisaient.
    
    Après un peu de recul, je peux me demander, si cette coupure était calculée pour me faire accepter plus de choses qu’à la base j’aurais accepté surtout après qu’il m’ait rendu accro aux spiritueux.
    
    Enfin, un matin, je suis en cours et mon portable frémi dans ma poche.
    
    Discrètement je quitte le petit amphi où un prof nous fait un récit des étapes des divers changements de textes de lois importantes depuis la révolution et je me rends aux toilettes.
    
    • Ludivine, c’est Ludovic, j’aurais besoin de tes services, Anabelle une autre jeune fille avec laquelle je travaille vient d’avoir une crise d’appendicite, elle est à l’hôpital.
    
    J’allais entamer une série de photos dont je voulais te parler, quand peux-tu passer me voir, si j’abandonne, je vais perdre un paquet de fric et l’entretien de mon lieu de travail me coute cher.
    
    Je suis prêt à faire un effort financier si tu me dépannes.
    
    Là encore, après coup, j’ai conscience que j’étais ferrée, il avait besoin de moi et j’avais besoin de lui, j’étais hors de la salle de cour.
    
    J’ai évité ...