1. QUI FRAPPE A LA PORTE ?


    Datte: 16/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... branlais. Je m'astiquais violement la queue. Ma bite se gonflait encore plus à la pensée d’arroser ses seins de mon jus et j’avais du mal à tenir plus longtemps. C’était tout simplement trop bon et le visuel était trop parfait. J‘étais au bord d’éjaculer.
    
    - Oui, Alain ! Envoie ta crème ! Donne-moi ton jus d’amour ! Donne ton sperme !
    
    Je tirais ma bite au bord de l’explosion et j’envoyais une salve de sperme entre ses deux seins et dans le creux de son cou. La giclée suivante balafrait de gauche à droite ses deux seins.
    
    Jet après jet, je décorais le corps d’Emilie pour finir sur sa touffe de sa chatte.
    
    - Alain…huuummm, tu es incroyable !
    
    - Et moi il me semble qu’il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas l’un sur l’autre !
    
    - En effet !. Dit-elle en caressant sa poitrine pour recueillir mon sperme sur ses doigts et les porter à sa bouche.
    
    L’instant d’après, je me plaçais entre ses cuisses. Elle était si trempée que ses poils collaient à l’intérieur de ses cuisses. Son sexe était doux. Juteux et moite comme une mangue trop mûre.
    
    Quand je plongeais dans son ventre, entre les poils gluants collés à ses cuisses, elle ...
    ... poussa un soupir satisfait.
    
    Elle se cramponnait à mes épaules, ses jambes gainées nouées sur mes épaules et dans cette position arrivait à tordre son corps dans tous les sens. À chaque aspiration elle faisait un bruit de gorge, comme si l’air lui manquait. Ses yeux étaient révulsés et son visage devenait violet. Elle avait déjà dû jouir deux ou trois fois, presque en silence.
    
    Elle m’avoua quelques heures plus tard qu’elle avait fait cela par pur curiosité, mais aussi ça à cause de sa mère. Qu’un jour en entrant du lycée, elle avait surpris une discussion de sa mère en tête à tête avec sa cousine Béatrice, et qu’elles parlaient de moi. Béatrice avouait à ma mère qu’elle me connaissait à l’époque où nous vivions tous deux à la ZUP. Que j’étais un suceur de chatte, qu’il ne fallait pas m’en promettre. Béatrice avait même relaté l’aventure avec Sophie, une autre fille du quartier. Pour faire bref, elles m’avaient toutes deux pissées dessus pour mon plus grand plaisir, d’ailleurs. Et pour les remercier je les avais sucées réciproquement.
    
    J’avais retenu de cette excellente discussion que je ne laissais pas Annick de Marbre. Et cela tomber bien ! 
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