1. Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 05


    Datte: 06/03/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... son portable en classe.
    
    Elle se trouvait toujours dans sa classe, elle me répondit en voyant s'affi-cher mon numéro, je ne l'appelais jamais pendant son temps de classe, à moins que ce ne soit pour une urgence.
    
    Je lui dis que Dan voulait lui parler.
    
    La cassette défilait toujours sur l'écran de son ordinateur.
    
    Il monta le son.
    
    - "Entends-tu? ...." Et il plaça le combiné prés des haut-parleurs, les gars gueulaient
    
    - "Baisez-moi cette salope, oui, elle a vraiment un délicieux petit cul pour une pute! ...... Dis-nous la pute t-es mariée? ..... Tu dois drô-lement aimer les bites de jeunes gars! ..... Dis-nous ce que tu veux! ....."
    
    Je pouvais voir Déborah répondre :
    
    - "Baisez-moi, baisez-moi, baisez-moi à couilles rabattues! ....."
    
    Déborah pleurait lorsque Dan me rendit le téléphone, il lui avait parlé pendant un bon moment après m'avoir dit de me rendre dans les toilettes et de l'y attendre.
    
    - "J'ai quelque chose à faire ce soir... "marmotta-t-elle
    
    - "Ne rentre pas avant 20 heures, j'aurai de la compagnie avant... Et après... " me prévint-elle misérablement.
    
    Elle raccrocha sur ces mots.
    
    Dan me regarda hilare.
    
    - "T'es pathétique mon cher...... Tu ferais mieux de lui obéir! ..... T'as fait assez pour empirer vitre sort aujourd'hui! ....."
    
    J'appris plus tard qu'elle devait séduire son principal, l'inviter à venir chez nous et baiser avec lui dans notre lit conjugal.
    
    Son principal était légèrement plus âgé qu'elle et était un vrai ...
    ... salaud.
    
    Tous deux nous avions de beaux salauds comme patrons. Je ne doute pas qu'elle le convainquit facilement, il était renommé pour se faire le plus grand nombre de femmes profs qu'il pouvait.
    
    J'attendais que la nuit tombe et je rentrais dans un restaurant pour sou-per, prenant mon temps pour ne rentrer chez moi qu'après20 heures.
    
    Je me demandais ce qui m'attendait encore lorsque je rentrerai.
    
    Il n'y avait aucune voiture de garée à part celle de Déborah lorsque j'arri-vais chez nous. Elle était sous la douche.
    
    Elle ne me dit rien lorsque je lui parlais. Elle paraissait abasourdie.
    
    Elle était meurtrie, furieuse et se tenait silencieuse.
    
    Depuis j'ai appris qu'elle devait obéir en tout aux consignes de Dan, elle ne voulait surtout pas se révolter ce qui entraînerait la diffusion de la cassette et plus particulièrement nos enfants en auraient connaissance.
    
    Tout ce qu'elle me dit à cet instant c'est que son principal venait de quit-ter la maison.
    
    Il l'avait appelé sous différents prétextes dans son bureau ces deux der-nières semaines et ce depuis qu'elle portait les tenues imposées par Dan.
    
    Elle me dit que Dan lui avait ordonné de faire tout ce que voudrait son principal cet après-midi.
    
    Elle demanda à une remplaçante de surveiller sa classe, passa aux toi-lettes où elle enleva soutien-gorge et petite culotte.
    
    Elle ouvrit la porte du bureau du principal et se glissa à l'intérieur.
    
    Il était assis à son bureau et se montra surpris de la voir ...