1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1611)


    Datte: 13/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1604) -
    
    Chapitre 36 : Saillies à la chaine -
    
    Markus éclatait de rire alors qu’il me barbouillait le visage en y étalant avec sa main, le sperme qu’il y avait répandu… Jamais je n’avais pensé un jour m’essayer à de telles pratiques tel que le fist-fucking, à des exercices aussi déviants et pervers, jamais je n’aurais pensé que mon corps, mon mental puissent réagir aussi aisément au délabrement, à l’abaissement, à l’avilissement, avec une soif infinie, une ambition, une appétence toujours plus importante d’aller plus loin encore. J’étais là, bouche grande ouverte, sous le joug de Markus, son pied posé sur ma nouille flétrie, son talon écrasant mes burnes, incapable de bouger, me laissant humilier sans plus aucune fierté, me laissant conduire dans l’abjection et l’ignominie. Markus me toisait, me rabaissait avec son regard à la fois diabolique et dépravé, il m’avilissait comme si je n’étais qu’une chose qui ne méritait que d’être foulée au pied, broyée, écrasée devant renoncer à toute forme de dignité. Condescendant, audacieux et arrogant parce qu’enivré par cette vision que je lui offrais, allongé au sol sur le dos, les cuisses largement écartées comme une salope en chaleur, je le laissais me contempler, me malmener. Mon cœur battait, mon esprit s’embrumait, je perdais pied. Des images pathétiques défilaient dans ma tête, je me voyais entre les cuisses de Monsieur ...
    ... le Marquis, entre celles de Walter, de Marcel, où bien celles encore de Greg, cet esclave étalon…
    
    Tous me forniquaient, m’enculaient, me baisaient, me niquaient sauvagement. Je devais être rouge écarlate de honte mais aussi de désir brulant. Ma poitrine se soulevait rapidement au rythme de mon hâtive respiration. De mes lèvres entrouvertes je me laissais aller à des gémissements pathétiques et affligeants, à des jérémiades de chienne excitée qui accentuaient au fil du temps le sentiment d’humiliation. Markus semblait se satisfaire de la situation, son sourire s’élargissait en un rictus cruel. Il caressait son entrejambe bien gonflé sur son jean moulant, sa langue passait sur ses lèvres déjà bien humides et ses yeux gourmands me fixaient comme un prédateur le ferait avant de fondre sur sa proie. Il se hissait sur la pointe de son pied gauche, celui posé au sol, pour que tout son poids repose sur ma nouille. De son pied droit, il broyait mes burnes, faisant tourner son pied comme s’il voulait écraser un mégot de cigarette incandescent, alors que je suffoquais en serrant les dents pour contenir la douleur.
    
    - Ouvre ta gueule de pute, sale bâtard !, m’ordonnait-il.
    
    J’obéissais, lui se raclait la gorge puis se penchait vers moi. Son crachat tombait directement au fond de ma gorge, j’avalais… un deuxième mollard tombait sur mes lèvres !
    
    - Viens collecter avec ta langue de pute ce que je t’offre, petite catin !
    
    Je fermais les yeux et passais ma langue sur mes lèvres ...
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