1. Institut PAVO Ep. 10


    Datte: 12/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byBill2222fr, Source: Literotica

    ... aussitôt quittèrent le bureau des gardiennes
    
    Le carcan du rire est un équipement de bondage particulièrement contraignant. Il s'agit d'une succession de rails horizontaux en bois, parallèles entre eux, et placés côte a côte selon une courbe en demi arc de cercle. C'est donc comme une espèce de table très arquée vers le haut en son centre. La victime y est allongée sur le dos, sa tête à une extrémité est donc orientée vers le bas, le sang lui « montant » à la tête, ses pieds à l'autre extrémité sont également orientés vers le bas, et son ventre, situé au point le plus haut du demi-arc est horizontal. Par ailleurs, à environ un mètre du haut de l'arc, du côte des pieds, se trouve un pilori médiéval en bois fixé au sol par deux solides poteaux situés de part-et-d'autre de ce chevalet arqué. Il est utilisé pour y maintenir attachées les chevilles, laissant ainsi exposées les plantes de pieds nues.
    
    Les deux gardiennes pénétrèrent dans la salle d'interrogatoire ou se trouvait déjà l'espionne, attachée sur un classique chevalet de torture médiéval en bois horizontal, chevalet sur-lequel elle avait subi sans succès le supplice des chatouilles de la part de la doctoresse podologue Diana.
    
    L'espionne était déjà pieds nus, en slip et en soutien-gorge. Il s'agissait d'une belle blonde, cheveux mi-longs, la peau claire, le visage anguleux, les yeux bleus et le regard d'acier, militaire. Lorsque les 2 gardiennes la détachent du chevalet, elle n'essaya même pas de se débattre, mais ...
    ... leur dit d'un air moqueur :
    
    « Vous perdez votre temps! Vos espèces de torture à base de guili-guili ne me font même pas rire. Je suis entraînée a subir bien pire que ça, je ne suis même pas chatouilleuse. J'ai d'ailleurs été choisie pour ça, car mes patronnes connaissent votre penchant pour ce supplice. »
    
    Mais les gardiennes, disciplinées, ne lui répondirent même pas, concentrées dans leur action : elle l'emmenèrent donc vers la fameux carcan du rire, et lui ordonnèrent de s'y allonger sur le dos. L'espionne s'exécuta et se retrouva bientôt ainsi tête vers le bas, son dos épousant la grande courbe de ce chevalet arqué, poussant ainsi son ventre nu vers le plafond. Ses jambes pendaient vers le bas de l'autre côté de l'arc. Puis les deux gardiennes empoignirent chacune une cheville, les levèrent, puis les posèrent sur les deux demi-trous centraux du pilori ouvert, de sorte que les jambes de la prisonnière se retrouvèrent non plus le long de l'arc mais horizontales dans le prolongement de son ventre. Puis les gardiennes refermèrent le pilori en présentant les autres demi-trous face a leurs « sœurs » puis fixèrent fermement les deux demi-parties en les vissant entre elles. Les jambes ne reposaient donc sur rien: seules ses chevilles emprisonnées dans le carcan les empêchaient de "tomber". Ses bras furent croises derrière sa nuque laissant ses aisselles exposées. Les bras fortement repliés au niveau des coudes entouraient sa tête telles deux grandes oreilles de lapin.
    
    La ...
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