1. Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 5


    Datte: 12/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 5
    
    Il porte un boxer blanc très moulant qui lui fait un sacré paquet entre les jambes, je m'approche de lui et le lui enlève...sa queue se libère et elle est déjà bien épaisse et assez longue et repose sur une très grosse paire de couilles,
    
    Je lui retire ce dernier voile pour avoir en face de moi son formidable phallus. En quelques caresses savantes, je vois renaître le Phénix. J’ai de nouveau sous les yeux ce pieu hyper massif de mes souvenirs. Je le caresse avec volupté pour l'amener à la croissance maximum. Il me demande alors :
    
    -J'ai un fantasme Sylvie, veux-tu me faire ma toilette ?
    
    Suite :
    
    Je ne lui réponds rien mais le prends par la main et l’emmène dans ma salle de bain. Je finis de le dévêtir, le mets sous la douche et me savonne les mains. Il me demande d'une voix candide :
    
    - Pourrais-tu laver mon entrejambe, s'il te plaît ?
    
    Je prends mon courage à deux mains et commence à savonner ses cuisses pour finir sur son chibre qui pend entre ses cuisses, rien que le savonner produit sur Jocelyn l’effet attendu et le « pont levis se lève ». Je touche cette barre de fer toujours aussi bien dressée et épaisse et en éprouve l'incroyable dureté. Je suis affreusement gênée mais à la fois folle de joie. Je ne m'attendais pas à ce que mon livre m’amène un jour à branler un sexe d'une telle taille !
    
    Sans même m'en rendre compte, mes frottements deviennent des caresses. Je suis ...
    ... attirée par ce chibre immense comme un aimant par une plaque de tôle. Je ne peux plus résister, me déshabille moi aussi et me mets à branler puis à sucer son dard. J’aime faire des gorges profondes mais là, je n'y arrive pas. Il pose ses mains sur l'arrière de ma tête pour essayer d'aller encore plus loin sous mes haut le cœur. Il est très résistant après tous les mois où sa famille s'est exercée sans compter à essayer de le faire atteindre l’orgasme.
    
    Soudain, je sens des soubresauts faire enfler encore si c'est possible ce formidable nœud.
    
    Je lâche la bête pour assister au spectacle. Jocelyn se branle à une vitesse folle jusqu'à l'explosion en puissants jets de sperme en poussant un râle puissant. Il se vide comme à son habitude et me crépit des cheveux au menton de son foutre épais.
    
    Je finis sa toilette, (et la mienne) le sèche consciencieusement avant de nous diriger vers ma chambre.
    
    Je reprends là où je m'étais arrêté mais sentant que ça glisse moins bien à force du va et vient de mes doigts sur sa peau sèche, je reprends son gland dans ma bouche chaude et humide et l'enduit de ma salive en le suçant et le pompant goulûment tout en continuant de lui chatouiller de l'autre main ses testicules.
    
    Il ne lui faut pas longtemps pour retrouver la forme ou plutôt que sa verge demi molle ne redevienne le manche de pioche habituel. Mes mains expertes reprennent leur jeu de cache-cache avec son gland tout en accélérant la cadence en exerçant une pression plus forte sur le ...
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