1. Vendanges


    Datte: 11/06/2024, Catégories: Première fois Auteur: bylexdepenny, Source: Literotica

    ... épouse.
    
    Ses paroles me coupent le souffle! Mon épouse vient-elle d'inviter Jakob à apprécier la douceur de son intimité? Je manque de jouir sur place...
    
    Mary est calme, on la dirait insouciante. Sans se presser, elle prend ma main dans une des siennes, pendant que de l'autre elle prend celle de Jakob. Elle regarde son sexe nu et nous positionne avec soin, la main de Jakob à la cuisse droite, à quelques millimètres de sa vulve. La mienne, elle met à exactement la même distance sur l'autre cuisse. Son sexe est mouillé et parfumé, et j'en sens la chaleur sur mes doigts. Elle reprend sa pose d'avant, coudes sur la table, la tête sur les mains.
    
    - Ce soir, dit-elle, c'est toi, Jakob, qui es notre invité d'honneur. À toi de passer en premier. Regarde-moi. Touche-moi, examine-moi et explore-moi. Caresse-moi. Je veux sentir tes doigts qui me frôlent et qui me fouillent. Vas-y. Si tu ne sais pas trop comment faire, mon mari te montrera comment me faire plaisir.
    
    Au cours d'une bonne demi-heure, Jakob et moi faisons jouir Mary, tantôt à tour de rôle, tantôt avec nos doigts qui s'entremêlent dans la fente trempée de sa vulve. Aux moments où je laisse le champ libre à Jakob, Mary m'embrasse avec fougue et baisse le haut de sa ...
    ... robe pour m'encourager à caresser ses seins et ses tétons durs. À ce moment-là, ce n'est plus mon épouse que nous caressons, celle avec qui je me suis marié seulement quelques semaines auparavant. Mary s'est transformée, et est devenue l'emblématique femme sensuelle de tous les âges. Cette femme-là n'exige rien de nous que de la faire jouir, jouir et jouir encore. Mary subit des orgasmes répétés, qui à la longue deviennent presque continus. Les vagues de frissons qui la secouent se succèdent de plus en plus vite. À la fin, elle ne peut s'empêcher de vibrer incontrôlablement de la tête aux pieds.
    
    - Stop! Je n'en peux plus, balbutie-t-elle enfin. Sa voix est rauque, cassée par le contrôle qu'elle a dû exercer pour ne pas crier haut et fort les paroxysmes de délire que nous avons déclenché en elle.
    
    Elle elle se lève, fait une bise chaste de remerciement à Jakob, m'embrasse avec tendresse et se dirige en titubant un peu vers le dortoir des filles. À la porte, elle se retourne et me fixe du regard. C'est elle qui trouve les paroles de ma pensée.
    
    - Bonne nuit, mon amour. Il va falloir qu'on en discute, n'est-ce pas? Notre mariage va être différent de celui des autres, je crois. Pas toi?
    
    - Oh, si! Si!
    
    Elle avait raison. 
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