Alice in Wonderlands? Ch. 05
Datte: 10/06/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... n'avais pas envie de te voir te pointer tous les quarts d'heure pour me demander l'autorisation d'aller te vider la vessie. Avec la couche tu es plus autonome, non?
C'est un vrai fêler du ciboulot, il a les méninges qui flanchent le pauvre Vincent. Il doit y avoir des fêlures irrémédiables, bercé trop prêt du mur, une mère castratrice sûrement, une enfance difficile, des séances de son psy inefficaces, le départ de sa femme ... J'ai beau argumenter, il ne démord pas de sa solution miracle. Je ne tiens pas à goûter à nouveau à mon urine ni à prendre une autre fessée, aussi à contrecœur j'ouvre son paquet et en sors une couche.
Ne sachant pas trop comment la mettre au début, je trouve le mode d'emploi et ajuste au plus serré les petites fixations collantes pour que la couche tienne bien en place. Une fois affublée de cette tenue enfantine je me trouve ridicule et pique un fard inutile. Vincent vient tapoter mes fesses rembourrées, remonte un peu la couche pour vérifier son ajustement, recule pour un aperçu global et satisfait de son idée m'annonce ....
- Bien aucun risque comme ça, allez, tu m'as parlé d'une pipe hors du commun tout à l'heure non?
- Va te faire foutre, lui retourné-je en allant retrouver ma caverne ainsi accoutrée, tu peux te brosser pour la prochaine.
Qui disait déjà que le ridicule ne tue pas? Je voudrais bien le voir en ce moment celui-là pour lui parler du pays. J'ai repris, docile, une demi-heure après mon ouvrage suite à sa petite tape ! ...
... Comme annoncé, ma bouche n'a pas été accueillante et ce fut la pire fellation de ma jeune carrière.
Ma vessie, elle, se moque des apparences et des circonstances. Elle trépigne d'impatience et me fait serrer les cuisses plus que de raison pour éviter tout relâchement catastrophique. Lorsqu'enfin Vincent me donne son quitus pour la journée, je me précipite hors du bureau en quête de mes affaires. En voyant me tête concentrée sur mes envies libératoires, il remarque très sérieusement.
- Tu ne t'es toujours pas lâchée Alice? Je pensais que tu te soulagerais, tu le pouvais et sans risque cette fois. - Arrête tes conneries Vincent et donne-moi mes fringues en vitesse.
- Tu vas tenir jusqu'à chez toi? Tu es venue à pied, je crois, ce matin, 20 minutes de trajet c'est ça?
- Il y a les toilettes de l'école à 20m dans le couloir, vite, magne-toiiiiiiiii m'emporté-je.
- tsiiit, tsiiit, tsiiit, trop facile ça, tu sors par la porte de secours. On donne à madame tout le confort et elle fait la fine bouche. Tu es au bord de l'apoplexie et je ne parierais pas sur toi, le retour risque d'être chaotique ! Mais si c'est ton souhait, enlève ta couche et je te donne tes affaires.
Le salaud. Le pire c'est qu'il n'a pas tord, je ne me donne pas beaucoup de chance d'arriver at home la culotte sèche. Pisser au beau milieu de le rue ne m'enchante guère, surtout que je suis en pantalon léger ! Au pire en jupe derrière une poubelle j'aurai pu tenter, mais là. Je fais un rapide check ...