1. Comment transformer son neveu impuissant en bête de sexe. 28


    Datte: 09/06/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... détende pour accepter dans son cul la plus grosse queue de sa vie de bisexuel. Je veux continuer à mater la scène mais autant faire comme Karine et se donner du plaisir en même temps. Je me déplace donc pour m’assoir sur le visage de cette véritable bête de sexe. La langue d’Arthur n’est pas aussi longue que sa verge mais il sait diablement bien s’en servir. Voyant ça, Damien ne veut plus rester à la traine est s’empale sans un cri la bouche recherchant un bol d’air comme si le chibre d’Arthur est monté si haut qu’il lui encombre les bronches.
    
    Nous jouissons tous les deux de ce que nous offre notre cher voisin sans défaillir. Comme nos amis, nous nous embrassons et nous faisons des papouilles partout. Je suis même étonnée que Damien après s’être déjà vidé les couilles plusieurs fois arrive encore à bander. Mais la source est pratiquement tarie et je sais qu’il n’en sortira plus grand-chose. Arthur arrive à grogner :
    
    -On va finir en apothéose. Je veux que les femmes se mettent en levrette sur les coudes et les genoux, que les hommes les sautent comme des chiens en glissant leur bite dans le cul de leur épouse s’ils y arrivent encore et je passerai d’un couple à l’autre pour boucher les trous restés libres jusqu’à ce que je me vide une dernière fois les couilles pour enfin débander et retirer cet anneau qui me scie la teub !
    
    Trop heureux de ce baroud d’honneur, nous lui obéissons. Nos hommes ont plus de difficulté pour rebander une dernière fois pour nous enculer ...
    ... mais notre anus est encore ouvert et même s’il se rétracte doucement, il n’offre aucune difficulté aux verges à demi-bandées. Malgré l’obstacle du corps de nos hommes qui s’activent mollement, Arthur parvient grâce à la dimension de son chibre et à la souplesse de la jeunesse à nous saillir, mais ne voulant pas faire de jaloux, il fait le petit train en y rajoutant un wagon et ramone allègrement le conduit de nos hommes. Nous sommes quatre complètement épuisés, et tout ça parce que dans la buanderie l’autre jour Arthur attendait son linge en slip ! Il nous annonce enfin :
    
    -Dernier service ! C’est que j’ai du boulot qui m’attends, je croyais rester une petite demi-heure pour prendre le café et ça fait maintenant plus de deux heures que je suis là.
    
    Il est debout, les jambes écartées et se branle avec vigueur. Nous sommes les quatre comme à l’hallali, attendant que la bête meure, ou plutôt qu’elle expectore une dernière fois sa sève. Il doit s’astiquer le concombre un temps qui nous parait interminable avant enfin de nous crépir d’une dose de foutre ridicule pour lui, mais que Damien ou Serge admirent et jalousent en hommes lambda.
    
    Pendant que nous nous battons entre nous quatre pour récupérer sur l’un(e) ou l’autre jusqu’à la dernière goutte de sa liqueur, Arthur est allé s’avachir sur le divan, les bras et la tête reposant sur le dossier, les yeux fermés pour récupérer après avoir tant donné de sa personne. Quand je reviens enfin vers lui, je m’occupe de lui retirer son ...