1. Surprise et bien prise.


    Datte: 08/06/2024, Catégories: fhh, couple, candaul, grossexe, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Abdul, Source: Revebebe

    ... parfaitement le cri strident qu’elle pousse lorsqu’elle découvre que ce n’est pas son mari qui l’attend sur le seuil.
    
    Je suppose qu’elle tente de refermer vivement la porte lorsque Hughes bloque le battant avec son pied avant de lui expliquer les raisons de sa présence.
    
    — Rassurez-vous, Carine, je ne vous veux aucun mal. C’est Lucas, votre mari, qui a tout organisé. Il m’a parlé d’une certaine déception que vous avez récemment affrontée et il a pensé que j’avais certaines qualités pour vous consoler.
    
    Le bref silence qui s’ensuit provoque l’affolement de mon rythme cardiaque. Même si j’ai pris beaucoup de soin pour sélectionner le mâle susceptible de combler Carine au-delà de ses attentes, rien ne me prouve à ce moment qu’elle goûtera mon initiative.
    
    Grand, doté d’une musculature sans excès, d’une peau café au lait nette et soignée, d’un visage aux traits fins surplombé d’un crâne rasé, j’espérais en le choisissant que Carine allait être sensible à la prestance dégagée par Hugues, et les regards furtifs qu’elle a échangés avec lui au cours du repas m’ont conforté dans mon opinion.
    
    L’homme s’adresse alors à mon épouse de sa voix chaude et virile.
    
    — Carine, je souhaiterais que vous décidiez rapidement si vous me laissez entrer ou si vous me renvoyez, car je viens de me défaire de mon peignoir et je risque de faire scandale si quelqu’un me croise maintenant.
    
    J’entends la porte s’entrouvrir et Carine lâcher un juron.
    
    — Oh mon Dieu ! Qu’est-ce que c’est que ...
    ... ce machin !
    
    Ce juron me laisse supposer que ma chère moitié vient de découvrir ce qui pend entre les cuisses musclées de son visiteur. Je ne pourrais d’ailleurs nier à cet instant que le membre viril de Hugues est de fort belle longueur même si je pense que c’est plutôt son épaisseur incroyable qui sidère Carine.
    
    — Ne restez pas dans le couloir à poil, entrez ! lâche-t-elle visiblement émue.
    
    Je l’entends ensuite s’exclamer.
    
    — Mais que faites-vous, donc !
    — Eh bien, je vous prends dans mes bras pour vous porter jusqu’au lit.
    
    La réponse doit convenir à Carine puisqu’elle ne proteste pas plus longtemps tandis que Hugues referme la porte d’un mouvement de pied.
    
    Je m’approche doucement de l’entrée de la chambre puis je colle mon oreille au battant. À mon grand soulagement, je ne perçois aucun cri indigné en provenance de la pièce. Et lorsque des soupirs satisfaits plus ou moins étouffés viennent titiller mes tympans, j’utilise aussitôt ma clef numérique pour déverrouiller la serrure et entrer le plus discrètement possible.
    
    En m’approchant du lit, je vois ma chérie étendue sur le dos dans son écrin de dentelles, ses pieds admirablement cambrés dans ses escarpins à talons démesurés. Carine a les jambes largement écartées pour permettre à Hugues, dont le visage est enfoui entre ses cuisses, de se servir de sa langue pour déguster son pistil délicat et ses nymphes roses d’excitation.
    
    Le mâle semble plutôt doué si j’en juge par les gémissements poussés par mon ...
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