1. Géniteur !


    Datte: 14/07/2019, Catégories: ffh, Collègues / Travail fépilée, pénétratio, québec, hff, Auteur: MarkTen, Source: Revebebe

    ... Paule vient triturer son bourgeon. Je saisis les mollets de Sonia, lève ses jambes en V, elle grimace, tente de retenir des gémissements.
    
    — Tu vois, c’est comme ça que l’on bourre une blondinette cochonne.
    
    Visiblement, Sonia est au bord de la jouissance, elle se malaxe les seins.
    
    — Oui, prépare les bien, tes boules, parce que tu vas me masturber avec tes nichons.
    
    Mes paroles ont un effet certain car elle se mord la lèvre inférieure puis bouche ouverte, sa langue mouille ses lèvres.
    
    — Ah, tu te lèches les lèvres, tu sais que c’est ma queue je vais mettre là tantôt, quand tu auras jouis, je viendrai jouir dans ta bouche, tu vas tout avaler parce qu’une petite cochonne comme toi aime ça, le sperme d’un mec.
    
    Sonia n’en peut plus, elle tremble, crie sa jouissance, me traite de maudit cochon. Je n’arrête pas de la besogner, sa tête est un vrai métronome, d’autres orgasmes arrivent, Je suis en sueur, mon rythme cardiaque s’est emballé, je pilonne toujours, incapable d’arrêter ...
    ... le mouvement. Je vois Paule qui agite frénétiquement son doigt sur son clitoris, tandis que l’autre main, laboure sa chatte. Elle aussi est emportée dans sa débauche.
    
    Je lâche les jambes de Sonia, elle les enroule dans mon dos, je me penche sur elle, nous forniquons comme des débauchés, simultanément nos corps se raidissent, j’inonde ce sexe qui reçoit le sperme pour la première fois. Sonia hurle qu’elle est au paradis.
    
    Immobile, je regarde Sonia vivre son extase, son bassin bouge encore un peu. Elle ouvre les yeux, ils sont mouillés, elle me griffe le dos disant :
    
    — Je devrais te tuer de m’avoir fait sentir aussi cochonne, tu fais toutes ces cochonneries aux femmes ? Tu sais, je suis une femme.
    — Papa, comment maman m’a fabriqué ?
    — Toi, mon petit homme, papa a mis une grosse chaleur dans le ventre de maman, elle disait :
    — C’est chaud, c’est chaud.
    — Moi, papa, c’était comment ?
    — Toi, ma belle, tu es un ange. Papa a amené maman au paradis pour te mettre dans son ventre. 
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