Les vacances de Charlotte (1) : La rencontre.
Datte: 02/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: PP06, Source: Hds
... dirait un pervers.
- J’ai le droit de regarder ma femme, non ?
- Oui, mais discrètement.
- Oh, alors …
Je m’assieds sur ma serviette sans la quitter des yeux. Elle enlève son haut, libérant sa poitrine. Je sais qu’Antoine l’observe du coin de l’œil. Sans un mot, elle s’allonge à côté de moi.
- Eh ! T’as oublié le haut ou quoi ?
- Non, non.
- Tu vas rester seins nus ?
- Et alors ? On est en Espagne, regarde autour de nous, tout le monde fait du mono.
- Non regarde Céline, elle est en burkini, lui dis-je ironiquement.
- … T’es con !
- En plus cet été, c’est la mode. Libération de la femme, t’en a entendu parler ?
- Je te taquine. Fais-les bronzer tes petits nénés, ils seront encore plus mignons.
- Chut, on pourrait t’entendre.
Il commence à faire chaud, très chaud. Charlotte prend les devants :
- Je vais goûter l’eau. Céline, tu viens avec moi ?
- Volontiers
- Je viens avec v… tente Antoine immédiatement coupé par sa femme.
- Antoine, tu ne vas pas laisser Tom garder nos affaires tout seul, quand même ?
- Ah… c’est vrai. Bon à tout à l’heure, ma chérie.
Charlotte se redresse, pose son chapeau et ses lunettes de soleil. Je n’avais pas réalisé à quel point son maillot était échancré. Elle fait un tour devant moi :
- Ça va comme ça ?
- De quoi tu parles ?
- Il est bien mis ?
- Tu parles de quoi ? Tu as les seins à l’air et si le but est qu’on ne voit pas tes fesses, c’est raté.
- Pfff ! Tu n’y connais ...
... rien.
Je la regarde s’éloigner vers la mer avec sa démarche féline. Elle ne laisse pas insensibles les hommes auprès de qui elle passe, je distingue quelques regards, certains sont discrets comme ceux de ce père de famille et d’autres plus expressifs ne se gênent pas.
Antoine me parle, je ne l’écoute pas, trop occupé à regarder ma femme qui barbote avec Céline. Il est vraiment tout petit ce maillot.
Nos femmes se décident enfin à revenir, sans se presser, en continuant de discuter. Encore des regards, des têtes se tournent. Au fur et à mesure qu’elles se rapprochent, je la détaille comme tous les hommes autour de nous, ses seins parfaits, ses tétons qui ont réagi à l’eau froide, et son minuscule bikini. Là, je prends un coup de chaud. Son maillot mouillé est devenu transparent et laisse peu de place à l’imagination. Il épouse à merveille les formes délicates de son sexe, ses lèvres, sa fine toison brune bien taillée. Je comprends pourquoi autant de têtes se sont tournées sur son chemin, je lui fais discrètement la remarque :
- Euh, mon amour, je ne sais pas si tu sais, mais ton maillot ne cache plus rien.
- Quoi ? … Oh zut ! Passe-moi vite mon paréo.
- Pourquoi, je croyais que c’était la mode ?
- T’es fou ! Pas comme ça.
- En tout cas, tu as du succès, la moitié de la plage a vu ton minou.
- Arrête, la honte.
Elle s’assoit rapidement, paréo autour du corps.
- Tu t’es rasée ?
- Avec ce maillot, je ne pouvais pas faire autrement.
- Encore une ...