1. Le réveil d'un autiste 3. Barbara.


    Datte: 30/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... Elle se sert de ses mains comme d'une pige pour mesurer approximativement la taille du jonc vigoureux. Elle pose une main à ras les poils, puis l'autre au-dessus, reporte à nouveau sa première main au-dessus de la seconde et constate que c'est à peine si elle arrive au bout de ce mandrin.
    
    Vous pouvez essayer les filles de faire de même avec vos petits copains sachant que la plus grande largeur de votre paume avoisine les huit centimètres. Vous comprendrez alors avec une petite multiplication la taille de cet organe formidable. Et que dire de son diamètre quand elle constate que sa main serrée au milieu de la bite trapue que le bout de son pouce est à presque trois centimètres de l’ongle de son majeur.
    
    Barbara comme sa sœur n'est pas une sainte nitouche et sait très bien comment ce servir d'un tel manche. Pendant plusieurs minutes, ses doigts courent tout au long de la hampe avec un mouvement circulaire et contraire d'une main à l'autre puis elle essaie en descendant une main du gland jusqu'au pubis de son cousin suivi très rapidement de son autre main pendant un temps infini. Mais comme sa sœur, la récompense tant attendue ne vient pas. Le pieu est toujours dressé, les bourses toujours aussi pleines.
    
    Elle ne lui laisse pas le temps de réagir et entreprend une fellation s’évertuant de recouvrir de sa salive l’organe et de le gober le plus loin possible. Ses mains servent de réceptacle aux couilles gonflées avec la peau qui se tend sous la pression de ses doigts. Elle ...
    ... mouille, elle coule comme jamais. Son clito doit être maintenant aussi gros qu’une petite bite, son anus n’aspirant qu’à se dilater.
    
    Barbara n’y tient plus, elle joint ses bras autour du cou de Narcisse, se soulève pour nouer ses jambes autour des hanches du garçon qui empaume la croupe de la fille puis passe ses mains sous les cuisses, plie les genoux pour plus aisément embrocher Barbara, se redresse et la cloue contre la cloison la plus proche.
    
    Il défonce le vagin heureusement très lubrifié de sa partenaire et la fait décoller vers des horizons de plaisir intense. Barbara, pendue au cou de son cousin et embrochée comme une poularde à la broche est incroyablement belle, ses seins pointent et ballotent sous les coups de boutoir, elle dérouille salement mais est heureuse et un grand sourire déforme son visage.
    
    Elle découvre toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de son jeune cousin rentre et sort à un rythme effréné dans son vagin. Elle hurle à en alerter toute la maisonnée, son corps tremble, vibre réellement. Il fatigue enfin et la repose sur le sol, la prend en missionnaire, dans la position de la cuillère, en levrette. A son tour, c’est elle qui se déchaine dans d’autres positions où c’est la femme qui dirige. Elle ne compte plus ses orgasmes, inondant de cyprine Narcisse. Elle ne sait plus quelle heure il est, ni depuis combien de temps il la pilonne sans jamais débander ni jouir. Quand enfin elle arrive à jeter un coup d’œil à ...