1. A ton avis!


    Datte: 29/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    J’adore exhiber ma femme et mater. Avec elle nous avons pu nous livrer à quelques jeux coquins.
    
    Comme le jour où je fais venir un jeune du quartier. Je l’installe sur le divan avec moi alors que ma femme prend place sur son fauteuil à quelques centimètres de nous. Je prends alors sous les yeux témoins du jeunot, l’initiative à la branler. Pour ne pas qu’il ne détourne pas les yeux, je l’assaille de questions.
    
    Malgré sa gêne, il ne peut s’empêcher de jeter résoudre de jeter des œillades intriguées, parfois même soutenues. Je le sens de plus en plus troublé. À mon envie de jouer se mêle très vite, l’excitation.
    
    Je saisis ma femme par le poignet et l’attire à moi. Elle s’est exactement à cet instant mes intentions. Elle se laisse enlever sa jupe ainsi que sa culotte. Rapidement elle gémit. Je l’embrasse à pleine bouche, offrant ma femme dans sa plus profonde intimité aux regards intéressés du jeunot.
    
    Je ne vous cache pas, que j’aurais bien aimé qu’il prenne l’initiative de venir me relayer dans cette masturbation et peut-être même plus, si affinités. Mais il ne se décide pas. Mon envie de faire l’amour à ma femme devant un témoin, se fait de plus en plus forte. Et je ne vais pas tarder à succomber à cette envie.
    
    Je plante mes yeux dans celui du gamin. Il a du mal à soutenir mon regard. J’écarte les jambes de ma femme, alors qu’il se cale dans le divan, comme pour mieux apprécier la scène. Il espère du spectacle, je vais lui en montrer. Je me laisse glisser ...
    ... jusqu’aux pieds de ma femme. Là après un cli d’œil pour mon invité, je plonge mon visage entre les cuisses. Son pubis dégage, comme souvent dans ses cas là, une odeur de femme en rut. Son sexe est comme un fruit mûr dans laquelle on a envie de croquer.
    
    Je prends le temps d’admirer le contraste de ses petites lèvres foncées et sa peau laiteuse. Une chatte de femme surmontée d’un clitoris démesuré qui pointe hors de son fourreau comme à chaque fois quand elle est surexcitée. Et c’est-ce que j’aime le plus chez elle. Elle est ma chose, entièrement soumise aux orgasmes que je lui impose, par tous les trous.
    
    Sans m’attarder, je saisis sa vulve par les lèvres. Je l’ouvre largement, puis je glisse ma langue dans la chatte gluante. Mon épouse eut une brève convulsion. Je l’enfonce bien au fond, pour en aspirer la mouille. Elle a un goût salé pour ceux à qui cela peu intéresser. Je fais coulisser le gros bout de chair hors de son capuchon. Je l’aspire en l’expulsant à toute vitesse entre mes lèvres. J’ai toujours était surpris par la taille de son clitoris. Une excroissance obscène dépassant de la vulve avec indécence.
    
    Un coup d’œil me confirme que le poupon nous regarde toujours, très intéresser par ce que je fais. Ma femme gémit entre mes dents, soulevant le bassin. Je me saisis du tee-shirt qu’elle porte, à hauteur de son décolleté, et tire fort à moi. Sous la force le nylon cède. Libérant ses seins orphelins de tout soutien-gorge. J’enserre un de ses seins dans la paume de ma ...
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