1. Variations sur un thème 1


    Datte: 28/05/2024, Catégories: fh, couple, extracon, Oral pénétratio, attache, totalsexe, extraconj, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... bâillon étouffe mes cris, je me lâche, je hurle.
    
    Quand je me calme, la chambre devient silencieuse, la musique s’est arrêtée, il ne parle pas. Je sens vidée, les muscles endoloris. Je ne sais pas si on s’arrêtera là, s’il veut poursuivre, j’attends qu’il décide ce qu’il fera de moi. Il se relève et sa queue m’envahit lentement, mais profondément. Quand il arrive enfin en butée, il se retire doucement jusqu’à quasiment ressortir, puis replonge. Mon vagin est hypersensible, je ressens ces pénétrations avec une extrême acuité, sentant les moindres variations de sa raideur. Il accélère progressivement ses mouvements, sans dire un mot, il doit vouloir éviter de me distraire.
    
    Le pilonnage commence, sa queue me paraît plus grosse que jamais. Tout à coup, de façon étrange, je me vois quitter mon corps, je deviens spectatrice de la scène. Je me contemple écartelée sur le lit, lui couché sur moi, je vois ses fesses monter et descendre, j’entends le bruit sourd de nos pubis qui se cognent, j’entends mes halètements, ses grognements, je sens l’odeur de transpiration, de sexe, mais je n’ai aucun ressenti de mon corps, c’est comme si sa queue perforait une autre femme. Cela dure quelques secondes, quelques minutes, je ne sais. Quand je réintègre mon corps, les sensations me reviennent en force : mon vagin est une fournaise, mes seins sont malaxés brutalement, les tétons écrasés. Je sens que sa jouissance est proche, il me pénètre maintenant avec une force impérieuse et un rythme ...
    ... effréné. Puis c’est l’éjaculation. Je sens la première giclée de sperme au fond de mon vagin, il se retire, rentre à fond pour une nouvelle giclée et recommence, encore et encore. Quand il a fini de jouir, sa queue restée encore très raide continue de me baiser avec force. Ensuite, j’ai un trou.
    
    C’est quand il m’enlève le bâillon et le bandeau que je retrouve mes esprits.
    
    — J’ai l’impression que tu t’es éclatée ! me dit-il.
    
    « Éclatée » est le bon mot, je me sens brisée, en morceaux. Il continue en souriant :
    
    — Quand tu as joui, malgré les lanières, tu t’es mise à sauter dans tous les sens, à t’arcbouter, à tel point que tu m’as expulsé !
    — Désolé, mais je ne contrôlais plus rien. En tout cas, merci, c’était vraiment très fort pour moi. Et toi, tu as aimé jouer à l’homme dominant une femme sans défense, complètement offerte ?
    
    Je m’aperçois que j’ai tellement crié que ma voix est cassée. J’inventerai un problème avec la clim au bureau.
    
    — J’avais ce fantasme-là, c’est vrai. Cela me paraissait excitant de te voir exposée ainsi, mais tu t’offres déjà complètement à moi et nous avons fait tout ce que l’on peut faire entre deux adultes consentants ! Et je n’ai pas pu te faire subir les derniers outrages, tu n’étais pas sans défense, le bâillon m’interdisait ta bouche, ton cul était peu accessible aussi. C’est un paradoxe, mais tu as plus profité cet après-midi que moi.
    
    Cela me donne une petite idée pour ma prochaine variation. Mais j’en reparlerai une autre ...
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