1. Les retrouvailles avec Sophie.


    Datte: 26/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    -Alain !
    
    -Sophie !
    
    -Tu m’as reconnu ?
    
    -Eh comment ! C’est que tu n’as pas changé.
    
    -Qu’est-ce que tu fous là.
    
    -Eh bien je travaille là.
    
    -Tu peux t’asseoir un peu au moins ?
    
    -Bien sûr.
    
    Je tire une chaise à moi et pose mon fessier dessus. Très vite la discussion s’établit entre nous. D’abord sur le présent. Elle m’apprend qu’elle est divorcée, et moi que je suis marié et que j’ai trois enfants.
    
    Et bien sûr, peu à peu les souvenirs du passé prennent le dessus.
    
    -Dis-moi, fait-elle, tu as toujours la folie des culottes portées.
    
    -Sophie…
    
    -Quoi Sophie ? Les années ont passé mais les souvenirs me sont restés. Je me rappelle parfaitement que tu avais un penchant pour les culottes portées de ma mère.
    
    -Doucement Sophie on pourrait nous entendre.
    
    -Pourquoi veux-tu qu’on nous entende avec cette musique.
    
    -Il faut avouer qu’elles sentaient bon !
    
    -Et ceux de ma belle-sœur ?
    
    -J’aimais moins, mais à défaut d’autre chose.
    
    -Tu sais qu’elle a un commerce en ville.
    
    -Oui, je sais elle travaille avec ton frangin. J’ai quelques rapports avec eux. J’avoue quand je suis en leur compagnie de repenser à autrefois.
    
    -Et cela te fait quoi ?
    
    -Je bande comme un dingue.
    
    -Tu n’as osé lui avouer ?
    
    -A qui ? A ta belle-sœur ?
    
    -Et bien oui, à qui d’autre ?
    
    -ça ne va pas elle va me prendre pour un détraqué.
    
    -Ce qui est bien chez toi c’est que tu le reconnais.
    
    -De quoi ?
    
    -D’être un pervers.
    
    -Si d’aimer les culottes portées de ...
    ... femme c’est d’être pervers, alors je suis un grand immoral.
    
    -Tu es le seul type dans ma connaissance d’être comme cela !
    
    -C’est alors que je suis le seul à aimer les femmes. Bon ! Sur ceux je vais te laisser.
    
    -Et pourquoi ? Tu ne me gênes pas !
    
    -Tu n’attends personne ?
    
    -Oui une copine, mais elle vient plus tard. Tu peux rester quelques instants encore, enfin si cela de dit. Je ne te force à rien.
    
    -Je le sais, c’est bien pour ça que je vais m’autoriser à rester avec toi. Mais avant je vais aller te chercher à boire.
    
    A mon retour avec deux cannettes en mains nous nous sommes remis à discuter. De sexe bien sûr. A un tel point que je bandais comme un fou. Prêt à faire des cochonneries avec elle comme autrefois, d’ailleurs elle m’en parla.
    
    -Tu te rappelles quand tu m’as collé tes lèvres sur ma chatte ?
    
    -Comme si c’était hier.
    
    -Eh bien sache que je garde dans ma tête. Il ne se passe pas un jour sans que j’y pense. La première foi j’avais trouvé cela un peu blizzard mais au fur et à mesure de nos séances j’ai trouvé ça très envoûtant.
    
    -Envoûtant ?
    
    -Oui pour ne pas dire jouissif. Tu sais à l’heure que je te parle je prends mon pied.
    
    -Merci !
    
    -Pas toi, con ! Tu ne sais pas mais j’ai enfourné un truc dans ma chatte qui me fait frissonner.
    
    -Je vois !
    
    -Tu vois quoi ?
    
    -J’imagine un truc vibrant.
    
    -Parfaitement et voilà la télécommande. Lâche-t-elle en me tendant un petit boitier noir.
    
    Avec mon plus beau sourire, je m’en saisis. J’appuie ...
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