1. Ma maîtresse nymphomane qui disait toujours oui à tout, n'importe où ! (1)


    Datte: 14/07/2019, Catégories: Erotique, Auteur: AlanPourFemme Experte, Source: Xstory

    ... réagit pas du tout ce qui vaut clairement acquiescement ! Je comprends alors que tout est possible, sans préalable.
    
    Je glisse alors ma main sous sa chemise de nuit et commence à caresser ses grosses fesses. Elle gémit doucement, comme une invitation à poursuivre. Je glisse mes doigts vers sa chatte totalement trempée et je commence à la caresser.
    
    — C’est doux.
    
    — Tu mouilles depuis un moment visiblement.
    
    — Oui...
    
    — Je peux te lécher.
    
    — Oui... j’adore...
    
    J’allume alors la lampe de chevet pour mieux la voir. Elle me sourit. Je relève ses jambes et découvre son énorme et magnifique cul. Je me mets face à sa chatte et commence à la lécher sans retenue... Elle a les yeux mi-clos et un petit sourire de contentement tout en gémissant.
    
    — Fais ce que tu veux ! Je suis une femme libre...
    
    — On va donc jouer un peu. Va mettre tes chaussures à talons et rejoins-moi sur le balcon... puisqu’il fait beau et que le balcon est sans vis-à-vis la nuit (les bureaux d’en face son vide la nuit) on va se faire une petite exhibition sans risque.
    
    Elle rechigne un peu mais je lui rappelle qu’elle m’a autorisé à faire ce que je voulais. Nous nous retrouvons donc sur le balcon. Je lui demande de s’asseoir, jambes très écartées. Elle s’exécute avec un regard lubrique cette fois. Je reste debout devant elle et mets mon sexe près de son visage en lui branlant le clito... Elle prend mon sexe dans sa bouche en gémissant encore... Je crois m’évanouir tant elle suce COMME UNE ...
    ... REINE ! J’ai du mal à retenir une éjaculation tellement c’est intense.
    
    — Mets-toi debout face à la rampe pour que je bouffe ta chatte et ton cul !
    
    Une petite lumière s’allume en face dans les bureaux. Frémissement de nous deux.
    
    — Ne bouge pas Sylvia, nous sommes dans l’ombre et on ne peut pas nous voir. Ça pimentera un peu notre petit jeu.
    
    J’omets volontairement de lui dire que dans notre dos, le bureau est allumé, donc que l’on peut voir nos silhouettes. C’est excitant. Je bois son jus à pleine bouche pendant qu’elle tord ses grosses fesses sur mon visage. La lumière du bureau d’en face s’éteint mais je devine quand même une silhouette dans l’ombre. On nous regarde.
    
    — Mets un pied sur la chaise pour que je te doigte ma belle cochonne.
    
    Je sens tout de suite que ces mots crus déclenchent une vibration chez elle. Elle fait rouler ses hanches et je glisse trois doigts dans sa chatte... Elle gémit de plus en plus fort.
    
    — Si tu regardes attentivement en face, tu vas voir une silhouette derrière les rideaux, je crois que c’est une femme qui nous mate en face, peut-être une femme de ménage...
    
    — Ça m’excite !
    
    — Mets-toi face à elle et fais bouger ta langue dans sa direction... comme offerte !
    
    Je me place derrière elle et commence à la pénétrer lentement... elle se cambre de plus en plus...
    
    — Hummm, c’est bon de savoir qu’on nous regarde. Ça m’excite de plus en plus !
    
    Je la pénètre de plus en plus vite... jusqu’à la limite de l’explosion.
    
    — Mets-toi à ...