Un samedi bien occupé - Histoires de Sexe

Un samedi bien occupé

... consoler dans les bras de belles Italiennes pulpeuses.

J’en étais là de mes pensées lorsque le téléphone sonna, c’était Élodie. J’avais parfois du mal à ne pas croire que ces coïncidences en soient vraiment, qu’il n’y ait pas une sorte de communication inconsciente et supra naturelle. Je décrochai.

— C’est moi !

L’entrée en matière me fit rire, la liaison était en visio.

— Je t’avais reconnue.
— Comment va ?
— Bien et toi ?

Le dialogue avait du mal à s’installer. C’était comme un embarras entre deux personnes qui pensent la même chose, mais qui n’osent pas se le dire.

— Je vois que tu es toujours à poil.
— Je suis dans ma chambre.

Et je me lançai :

— Je suis heureuse de te voir…

J’eus alors droit à un grand sourire.

— Moi, comme promis, je ne suis pas toute nue.

Élodie me fit un panoramique de sa situation. Elle passa rapidement sur son corps, elle avait en effet un bas de maillot jaune. Elle était sur une sorte de relax à demi allongée à l’ombre d’un immense parasol. Devant elle, il y avait un jardin et une belle piscine aux formes arrondies avec un jacuzzi un peu décalé en hauteur qui se déversait en continu dans le bassin comme une petite chute d’eau. De l’autre côté, allongés sur des matelas à même le sol, deux corps nus s’offraient au soleil. Élodie zooma et je reconnus Matilda et Julien.

— Tu es en famille ?
— Les amis sont partis quelques jours et je me suis transformée en gardienne de la maison. Matilda est en vacances et ...

... Julien venu pour la journée.
— Matilda reste ?

Je sentis une petite hésitation.

— Oui, elle reste tout le week-end, Julien est venu passer la journée, il travaille demain. Je vais les appeler pour te dire bonjour.

J’entendis Élodie appeler en disant que j’étais au téléphone. Matilda cria« Wir kommen ». Ils se levèrent. Matilda, superbe, j’admirai ses seins qui tremblaient à chaque pas, ils avaient exactement la même forme que ceux de la femme de la plage. Julien suivait, toujours droit, et je remarquai que son sexe ne me semblait pas complètement au repos. Nous avons échangé quelques signes de main, Matilda esquissa un baiser.

— Vous êtes bien bronzés
— Il fait super beau, toi aussi tu as foncé. Ici, il n’y a qu’Élodie qui n’est pas toute bronzée.

Elle ajouta avec un clin d’œil.

— Il paraît que c’est pour toi !

Malgré ses protestations, Matilda s’empara du téléphone. En riant, ils retournèrent Élodie sur le côté pour lui baisser son maillot. Elle avait en effet un superbe contraste entre ses fesses toutes blanches et le reste du corps.

— Tu trouves ça joli ?
— J’adore. Laissez-la tranquille !

Tout le monde riait, je remarquai le sexe de Julien un peu plus gonflé. Matilda rendit le téléphone et ils retournèrent sur leurs matelas. L’image chavira un instant, Élodie avait complètement retiré son slip. Elle me montra son ventre et ses poils très sombres sur le blanc de la peau.

— Tu aimes ?
— Tu es superbe, tu me fais envie, regarde !

Je braquais ...