1. Elephant’bite


    Datte: 23/05/2024, Catégories: hh, copains, sport, vidéox, Oral hsodo, gay Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... me considère d’ailleurs comme un gros pédé pourvu que notre amitié ne soit pas définitivement rompue… Est-ce le courage ou bien l’inconscience, mais je décidai finalement de me jeter à l’eau :
    
    — Tu voudrais bien que je te la caresse ? J’aimerais savoir comment ça fait d’en avoir une aussi grosse que la tienne dans la main.
    
    Foutu prétexte, j’avais surtout envie de la lui branler. Alors, était-il choqué ou effaré ? Je ne saurais trop le dire, en tout cas il devint soudain blême. Je ne saurais pas plus décrire l’expression de son visage quand, quelques secondes plus tard, il vit ma main s’avancer sur son pubis pour doucement s’emparer de sa bite énorme. Machinalement, il retira la sienne comme si l’une des deux était de trop.
    
    — Putain, ce qu’elle est douce, ta bite ! lui dis-je pour le complimenter.
    
    La peau était vraiment toute douce, satinée, agréable. Mes doigts glissaient avec douceur et minutie le long de cette grosse colonne de chair que j’essayai de manœuvrer avec autant de précautions que j’avais vu faire Romuald, de longs et lents mouvements très amples et délicats, ponctués de temps en temps de petites pressions un peu plus intenses.
    
    — C’est comme ça que tu fais ? Ça te fait du bien ?
    
    Pour toute réponse, il se contenta de fermer les yeux et de repousser sa tête en arrière. Putain, il acceptait. J’étais aux anges. Le fait de toucher cette bite me mettait en transe et me faisait, moi aussi, rudement bander. J’en oubliai définitivement le film pour me ...
    ... concentrer uniquement sur mes attouchements.
    
    — Ce que j’aimerais avoir une grosse queue comme la tienne, lui dis-je encore, débordant d’admiration.
    
    Et tout en continuant de branler cet anaconda, je me penchai religieusement pour l’embrasser et franchis un pas de plus en passant ma langue juteuse autour de son prépuce. Et j’eus soudain envie d’être sa petite femelle.
    
    Romuald était encore à peine décalotté, seul le petit bout chaud de son gland émergeait. Explorateur de cette énorme bite, je pénétrai sous sa peau avec ma langue afin d’en faire lentement le tour avant de le décalotter.
    
    — Oh putain, Romuald, si tu savais comme elle me fait envie ta bite. J’ai très envie de te la sucer.
    
    Il avait à nouveau les yeux ouverts et me regardait, vaguement incrédule face à ce qui était en train de nous arriver. Entièrement passif, il devait penser que j’avais beaucoup d’expérience, il me faisait confiance et se laissait faire.
    
    Comme nous n’étions pas super à l’aise et que j’avais vraiment envie de bien le sucer, je l’invitai à s’allonger sur mon grand lit. Puis, après avoir coupé le film avec la télécommande, je plongeai la tête entre ses cuisses de mon camarade pour me consacrer entièrement à cette bite que maintenant je vénérais. Tout en continuant lentement à la branler, je me mis à en suçoter doucement le bout par de lentes aspirations. Sa bite était sucrée, il laissa filer quelques gouttes de pré-sperme que je me hâtai de savourer. Puis mes aspirations se firent de ...
«12...91011...15»