D'autres jeux avec Rhonda - Histoires de Sexe

D'autres jeux avec Rhonda

... en quelque sorte rattraper le temps perdu. Elle profite bien sûr de toutes les nombreuses activités à bord, jeux, piscine, salle de sport, danse mais ne manque pas de passer me voir lors de l’une des conférences du jour.

Oh, ce n’est pas pour en assimiler toutes les informations, non, c’est juste de la pure provocation car elle se poste juste en face de moi et s’amuse, l’air de rien, à écarter ses cuisses, juste ce qu’il faut pour me faire voir que, comme dans un célèbre film, elle ne porte rien dessous. Inutile de dire que la demi-heure me paraît particulièrement longue et que j’adore les questions qui suivent. Mais je tiens le coup, car je sais que quand nous retrouverons dans sa cabine, ce sera un festival sensuel !

Néanmoins, avant de l’y retrouver, j’ai encore de nombreuses choses que je dois faire. Ce qui est l’occasion, encore une fois, de faire monter la température, et même si je ne puis manger à sa table le soir, je peux par contre l’inviter à danser un peu plus tard. Je remercie mentalement ma mère de m’avoir appris les danses de salon, ce qui m’évite d’être ridicule quand nous entamons un tango, une danse si sensuelle et qui prépare si bien à l’amour.

C’est ensuite un petit tour sur le pont promenade à admirer le coucher de soleil. Serrés l’un contre l’autre, ses fesses collées contre mon sexe tendu, elle s’y frotte discrètement m’avouant qu’elle a adoré me chauffer au cours de nos petites rencontres. Je ne suis pas en reste et l’entoure de mes bras, ...

... l’entourant de tendresse et surtout agaçant doucement les pointes de ses seins. Quand l’horizon est devenu sombre et que seules la lune, les étoiles et les lumières du navire éclairent encore un peu, nos gestes sont un peu plus lestes tout en restant discrets. Nous sommes loin d’être les seuls, c’est l’heure où les couples– officiels ou de rencontre – s’adonnent à quelques petites polissonneries.

Quand enfin, on referme la porte derrière nous, on s’embrasse furieusement, faisant tomber nos vêtements sans cesser de nous caresser. La douche est trop petite pour y rester à deux mais, une fois les indispensables faits, on en profite pour observer l’autre ; si la douche est petite, rien n’empêche en effet de garder la porte ouverte et de savourer le spectacle de son partenaire en train de se savonner. Je la regarde et suis heureux de la voir désormais à l’aise avec son corps, avec ses envies. La voir se savonner en insistant sur ses seins tout en m’observant, la voir se caresser en me fixant, mmm. Quand je me lave à mon tour, insistant bien sur mes parties, elle est assise, jambes largement écartées, à se caresser sans pudeur.

— Ça rajoute un peu de piquant, non ?

Ma réponse– simple, j’en conviens – est de lui présenter, une fois sorti de sous le jet, ma verge tendue. Assise juste à la bonne hauteur, elle s’en empare avec gourmandise et me déguste avec une certaine voracité. C’est absolument délicieux, et la voir en même temps se caresser sans pudeur est un régal pour les ...