1. Eglantine la gourmande


    Datte: 22/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Hotscanwetpussy, Source: Hds

    ... bulles qui enivrent, atomisent la volonté, engourdissent le cerveau et réveillent les chattes paresseuses dans leur string serré. Ces moments délicieux où s’installe une légère ivresse, précédent le cérémonial du négoce, exprimé à demis mots pour une baise monnayée. Mon argent pour ton corps. Une flûte qui grise, offerte aux très jeunes putes de luxe avant d’obtenir avec quelques grosses coupures leur médiocre capitulation pour sortir une queue et la branler, pour ouvrir la bouche et gober un sexe érigé, pour offrir son cul soumis à des membres affamés de viande fraîche, pour écarter les cuisses et se faire enfin dilater une rondelle impatiente. Églantine aime fantasmer sur la soumission minable de la suceuse qui se résigne et s’abaisse, la mise à genoux imposée qui précède et prépare la pipe. Elle a même vu un mec s’asperger le gland luisant de quelques gouttes de champagne pour exciter sa petite pipeuse, une blonde, cheveux courts, coiffée à la garçonne et tenue de l’astiquer pour finaliser sa servitude. Elle aime imaginer cette main ferme qui se posera avec fermeté sur sa nuque, la conduira à se baisser soumise, à engloutir le pont de chair bien charpenté. Elle aime cette queue raide qui lui envahit la bouche et fait taire toute envie et toute possibilité de protester. Elle aime cette invite silencieuse à courber l’échine. Parfois elle invente quelques mots sales pour lui demander de s’exécuter.
    
    « Maintenant, sors ma queue, petite ! Masturbe-toi le clito en me ...
    ... suçant et montre-moi bien. Je veux voir comment tu aimes te doigter », lui dit un pervers déluré sans aucune honte.
    
    Elle se dit qu’elle s’extasierait devant le sexe des mâles en érection. Peu importe leur gabarit ou leur forme s’il y a du répondant. Grosses, raides ou encore souples, mais longues épaisses, remuantes. Ce qui plaît par avance à Églantine c’est l’idée de jouer la jeune vierge curieuse et admirative, devant les signaux du calibre dégainé. Elle minauderait un peu avant de prendre enfin en bouche le sexe en le tétant et le tâtant précautionneusement, pour le contraindre à durcir sans faiblesse. Elle ferait sa mijaurée, comme pour s’assurer de son bon droit et de son bon goût, de sa conformité aux exigences du moment. L’homme piétinerait sur place. Il serait impatient de voyager avant de se vider intégralement dans sa jeune bouche gourmande et pour l’exciter davantage elle lui murmurerait quelque chose de fou et d’une audace extrême :
    
    « On a tout le temps, tu sais j’en ai déjà l’eau à la bouche. » Puis elle le regarderait dans les yeux et ajouterait :
    
    « Ne te vide pas trop vite, j’ai tellement envie de te pomper. Laisse-moi bien profiter de ta grosse bite. Elle est si dure. Je vais bien te sucer. » Et joignant le geste à la parole elle engloutirait le dard érigé jusqu’à la garde et le limerait à s’étouffer.
    
    L’idée de ces prémisses l’excite. C’est comme une sorte de préparation à l’exécution capitale du vidage de burnes.
    
    « Mets-toi à hauteur d’une bonne ...