Institut PAVO Ep. 03
Datte: 17/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byBill2222fr, Source: Literotica
C'est ainsi qu'elle se dirigèrent vers la salle P007, aussi appelée « salle des sels de pieds » ou encore « salle des sels » ou bien encore « la salle sept ». Cette salle avait une horrible réputation. En chemin, la doctoresse expliqua le rôle de cette salle: « C'est dans cette salle que nous fabriquons les fameux « sels de pieds » qui, par respiration, empêchent nos patientes de s'évanouir. Je vous préviens d'avance, avant que nous entrions dans cette salle : il y fait très chaud, parfois ça hurle de rire, et ça sent très fort des pieds! Et c'est bien normal! Car, c'est dans cette salle que l'on récupère les sécrétions, autrement dit la sueur des pieds » continua-t-elle.
« Et il y a une manière assez simple pour cela, qui consiste à faire transpirer les pieds en les chauffant avec des radiateurs électriques. Pour accélérer le processus, nous appliquons une crème sous la plante des pieds, crème qui augmente dramatiquement la sudation. Et pour encore plus d'efficacité, on enferme les pieds nus dans d'épaisses chaussettes en laine qui retiennent bien la chaleur. Après une bonne heure, le jus des pieds est absorbé par les chaussettes. C'est alors, que les chaussettes sont retirées, pour être ensuite pressées dans un grand pressoir. Ah! Et saviez-vous que les pieds chauds sont beaucoup plus chatouilleux? » continua-t-elle, en souriant malicieusement.
Lorsqu'elles ouvrirent la porte, elles virent une scène des plus surprenantes : sur une très large plateforme circulaire, ...
... étaient allongées une bonne douzaine de patientes, leurs têtes très proches les unes des autres au centre de la plateforme, leurs corps répartis équitablement tels les rayons d'une immense roue de vélo mise à plat. A l'extrémité de ce cercle, se trouvait une espèce de gigantesque « jante » munie de nombreux trous, chaque trou emprisonnant une cheville. Leurs bras étaient alignés le long de leurs corps. Elles étaient fermement attachées sur cette grande plateforme circulaire, avec des anneaux au niveau des cuisses, du ventre, des bras et du cou. De l'autre cote de ces trous, leurs pieds étaient pratiquement tous emprisonnés dans des chaussettes en laine épaisses. Et face à chacun de ces pieds en chaussette se trouvait un radiateur électrique émettant une violente lumière rouge.
A cause de cette douzaine de radiateurs allumés à pleine puissance, il faisait une chaleur abominable dans cette pièce. Raison pour laquelle, les « patientes » étaient toutes en sous-vêtements laissant leur ventre, leur torse et leur jambes nus. Au dessus de chaque paire de chevilles, et donc au centre de chaque carcan, se trouvait un sablier, avec du sable de couleur bleue qui s'écoulait lentement pendant une heure. Le temps restant de ces sabliers était différent. L'un d'entre eux avait expiré : les deux pieds associés à ce sablier étaient complètement nus, leurs chaussettes ayant été retirées.
Une infirmière, également en sous-vêtements pour supporter l'infernale chaleur, chaussée de sabots ...