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La Rencontre
Datte: 17/05/2024, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, voisins, jardin, Masturbation init, initiat, diffage, Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe
Martin regarda sa montre pour la douzième fois en une demi-heure. Il savait que le moment de la journée qu’il attendait tant approchait et les dernières minutes lui paraissaient des heures. L’attente était d’autant plus insupportable que la chaleur était étouffante en ce mois d’août 1978. Le front de Martin était constellé de grosses gouttes de sueur qui dévalaient son visage encore juvénile avec la célérité d’un skieur de vitesse. Recroquevillé entre les branchages de l’épaisse haie longeant le grillage séparant les deux propriétés, Martin scrutait l’angle de la maison voisine comme si sa vie en dépendait. Un claquement de porte lui indiqua que l’attente allait enfin être récompensée. Et il la vit en effet apparaître. Marie-Claude, la voisine, fit son apparition, traversa le jardin enherbé et se dirigea en direction de l’adolescent qui cessa presque de respirer pour ne pas trahir sa position d’observation. La jeune femme marchait d’un pas tranquille, son long paréo flottant dans le sillage de sa démarche chaloupée. Marie-Claude était une petite femme brune à l’épaisse chevelure ondoyante lui tombant le long du dos. Sa peau mate et ses hanches rondes lui donnaient le type sud-américain qu’elle n’avait pourtant pas, elle qui était originaire du sud-ouest de la France. Ses yeux noisette lui conféraient une assurance presque arrogante dans le regard que son port de tête haut finissait de sublimer. Elle arriva jusqu’à ce petit coin de jardin baigné de soleil qui jouxtait ...
... la cache de Martin qui ne perdait pas une miette de la scène. Marie-Claude s’arrêta à moins de deux mètres du grillage et étala au sol une grande serviette noire dont elle étira les coins un à un. Martin regardait les courbes de la jeune femme danser devant ses yeux. Il devinait le galbe des fesses charnues derrière la transparence de l’étoffe chamarrée. Une fois la place au carré, Marie-Claude défit le nœud de son paréo qui ornait sa poitrine menue et le roula en boule avant de l’enfourner dans son sac bandoulière. Martin avait déjà assisté à ce spectacle depuis la fenêtre de sa chambre mais jamais d’aussi près. Il pouvait presque sentir les effluves sucrés et sauvages flotter dans l’air jusqu’à ses narines. L’air chaud et humide devenait électrique. Il détailla chaque parcelle de son corps à peine dissimulé par ce bikini zébré mauve, noir et blanc taille basse comme c’était la mode dans les années soixante-dix. Son regard serpenta depuis les mèches longues de sa chevelure le long de sa nuque jusque sur ses épaules étroites. Martin scruta les épais buissons sombres qui apparaissaient sous les aisselles, parfaitement accordés avec sa crinière. Il s’arrêta sur le galbe des seins qui, bien que relativement petit, remplissait lourdement les triangles du soutien-gorge tout juste tenu par de fines cordelettes assorties à l’étoffe. Alors que la jeune femme se mettait de dos pour finir de préparer son espace de bronzette qu’elle pensait à l’abri des regards indiscrets, martin fixa ...