1. COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (2/4)


    Datte: 16/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... !
    
    Vous semblez en colère, quelqu’un vous a fait des misères ?
    
    • L’autre connasse de Louisa, elle veut vous demander de me virer de ma petite chambre, car j’ai pris l’ascenseur.
    
    • Sois sans crainte, je dirige la copropriété et depuis quelque temps les autres propriétaires me tannent pour qu’on la licencie et que nous la remplacions par un Digicode.
    
    J’ai toujours dit non ayant pitié d’elle, mais si elle continue à te menacer, c’est elle qui sera remplacée.
    
    Tiens ça c’est pour toi !
    
    • Quesque c’est !
    
    • Tu as oublié, les 500 € pour m’accompagner, tu vérifies la somme et mets là dans ton sac, les bons comptes font les bons amis.
    
    Bien sûr, je la range sans regarder.
    
    Nous roulons sans pouvoir dire où nous sommes, Paris m’est inconnu et l’intérieur de la limousine tout en cuir clair, me fait tourner la tête.
    
    Lorsque nous arrivons, de nouveau la portière et je vois marqué « Le Châteaubriant. »Nous entrons, mon cavalier me tenant par le coude et après que Léon sans que Léon se soit présenté, on nous conduit à une table près d’un couple.
    
    • Bonsoir, Louis, je vois que toi aussi tu es en belle compagnie, je vous présente Séraphine, une amie qui m’accompagne.
    
    Que cela est bien dit dans ce monde du luxe que je découvre, moi la fille de ferme, il y a peu de temps.
    
    • Bonsoir, Séraphine, moi aussi je vous présente Chloé, mon amie.
    
    En homme du monde, ce monsieur aux cheveux gris me fait un baisemain alors que je m’apprêtais à lui serrer.
    
    Il va ...
    ... falloir que je sache les codes dans ce milieu étonnant pour moi.
    
    Pourquoi penser à apprendre les codes, même si dans mon sac, j’ai 500 € certainement en billets, c’est pour rendre service à Léon et rien de plus ?
    
    Dès demain, direction Pôle emploi, même si je sais qu’il va falloir que je me démerde par moi-même.
    
    • Bonjour Séraphine, tu es fort jolie.
    
    • Merci Chloé, toi aussi tu es ravissante.
    
    Le repas se déroule dans la bonne humeur, Louis étant l’éditeur de Léon.
    
    Nous sommes avec des hommes du monde et à aucun moment, j’ai à subir un geste déplacé, Chloé non plus d’ailleurs.
    
    • Séraphine, ces hommes ont à parler du prochain roman de ton ami Léon, accompagne-moi aux toilettes, je dois reprendre mon maquillage.
    
    Je suis cette belle femme, environ aussi grande que moi, nous faisons sensation, la grande brune et la grande blonde.
    
    Nous entrons aux toilettes pour dames, Chloé pose son sac sur le grand lavabo à deux bacs et pose les fesses dessus.
    
    • Dis-moi Séraphine, tu es une occasionnelle ?
    
    • Occasionnelle, que veux-tu dire ?
    
    • C’est là première fois que tu fais l’escorte !
    
    • Ça se voit tant que ça !
    
    • Comme ton nez fort joli par ailleurs, tes fringues tu les as achetées au Prisunic.
    
    • Au forum des halls dans une petite boutique.
    
    • J’en étais sûr, les miennes c’est dans une boutique près de l’avenue Foch que je me les achète.
    
    L’avenue Foch, j’ignore où elle est, mais dans le jeu du monopoly avec lequel j’ai joué toute ma jeunesse avec ...