1. COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison I (3/3)


    Datte: 14/05/2024, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... madame Claudette m’enverra rencontrer des bites moyennant rétribution et rendant inutile ce genre d'engin de substitution.
    
    Les doigts, en moi, finissent par faire leur effet et je retiens mes cris de plaisir.
    
    Je rends la pareille à Marie, je suis partageuse, j’arrive à lui mettre quatre doigts. Certainement l’habitude avec Abby, son anglaise et c’est de plus en plus vite qu’elle veut que je la pénètre.
    
    D’un coup un geyser liquide sort de son corps mouillant les draps, Marie se met à pleurer à chaudes larmes !
    
    • Que t’arrive-t-il petit bouton d’or, je t’ai fait mal ?
    
    • Au contraire, Ludivine, depuis Abby, c’est la première fois que je suis femme fontaine.
    
    J’ai pris l’habitude de me masturber depuis son départ en regardant sa photo.
    
    Abby elle expulsait de grandes quantités de cyprine la plupart du temps où je la fistais.
    
    Nous avions l’habitude, je masturbais Abby, ses fesses sur cette table, je t’ai mis trois doigts pour te faire jouir, moi tu m’en as mis quatre, elle s’était ma main qu’elle recevait.
    
    Je vois que tu es ignorante de cette façon de faire, on appelle ça se fister.
    
    Son corps expulsait toute sa cyprine quand elle était en forme, c’était plus facile de passer la serpillière que de changer les draps.
    
    Elle respire un grand coup, je viens d’apprendre bien des choses, certaines femmes expulsent de la cyprine lorsqu’on leur met une main entière dans le vagin se faisant fister.
    
    Serais-je en train de me préparer à téléphoner à madame ...
    ... Claudette, qu’elle coche la case, pour que j’aille rencontrer des femmes en mal d’amour féminin ?
    
    C’est au petit matin que je rentre chez moi, donnant de tendres baisers à celle qui a été à deux doigts de faire chavirer mon cœur.
    
    Je me douche, une odeur de femelle en chaleur se trouvant sur moi.
    
    Ce sont les yeux un peu endormis, ça c’est la prof qui le dit, la pute dirait en trou de pine que je rejoins mon école.
    
    C’est une maîtresse apaisée, qui dicte à ses élèves la dictée que je leur fais faire, leur montrant là qui un accent, une autre un « s », ayant été oublié.
    
    Mais le plus souvent, en regardant, chaque fois qu’elle le peut, à hauteur des sexes des passantes me posant un max de questions.
    
    Culotte, pas culotte, rasée, pas rasée, un, deux, trois, voire quatre ou toute la main qu’en mode pute, je pourrais leur enfoncer.
    
    Un doigt, je me souviens, je m’en enfonçais un seul et encore restant tout au bord caressant mon clito avant que ce connard de Sylvain, me prenne ce que certains appellent ma petite fleur.
    
    En les regardant, surtout les plus jeunes, je me demande si c’est avec un seul de leur doigt, qu'elles se masturbent étant vierges !
    
    • Madame, je peux aller aux toilettes !
    
    Je reviens à la triste réalité de la vie, à son âge, Pauline est encore loin de ces pensées d’adultes, elle a du temps avant de découvrir son corps.
    
    Le soir je suis crevée, je vais pour me coucher dès que je suis rentrée.
    
    Je dénoue mes cheveux, j’ôte mes lunettes de prof ...