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Paul
Datte: 10/05/2024, Catégories: fh, couple, amour, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... appréciant ce temps mort. Estelle avala un chocolat sous le regard avide de son mari puis se leva. Paul put l’admirer retirer sa jupe dans un geste souple. Elle mit les mains sur la tête et tourna sur elle-même. Paul en grogna de contentement. Putain qu’elle était belle ! Tellement désirable ! — Tu me la retires avec les dents ? proposa Estelle en s’approchant du visage de son époux. Paul ne se le fit pas dire deux fois. Il attrapa la dentelle fine, espérant ne pas l’abîmer. Ça serait vraiment trop dommage de détruire une telle merveille. La culotte nacrée glissa le long des cuisses pour choir aux chevilles. Estelle s’en débarrassa aisément. Paul en profita pour admirer les chaussures noires à talons. Sa femme n’en mettait habituellement pas, son dos la faisant trop souffrir. Elle avait vraiment mis les petits plats dans les grands pour lui. Ses attentions le touchaient en plein cœur. Il se sentit plus amoureux que jamais. Son regard remonta pour admirer le mollet galbé puis les cuisses et enfin arriver au sexe dont la toison entretenue laissait deviner des nymphes trempées. Il déposa de doux baisers sur le pubis puis sortit la langue pour aller titiller le clitoris tandis que sa femme posait un pied sur le canapé, offrant par la même un chemin dégagé à son époux. Ses gémissements ne laissaient aucune place au doute : Paul usait de sa langue à merveille. Son goût, son odeur, il adorait tout. Il la boufferait bien du matin au soir mais la vie, les ...
... obligations, le travail, les enfants. Quelle misère de ne pouvoir déguster son abricot à longueur de journée ! Il comptait bien profiter de ce moment rien qu’à deux, si rare, si précieux, pour n’en perdre aucune goutte. Ses doigts vinrent en renfort de sa bouche. Les contractions dans le bas-ventre d’Estelle guidaient Paul et bientôt, elle jouit dans de petits cris aigus inimitables. — Prends-moi ! Baise-moi ! J’ai tellement envie de toi ! supplia la belle. Paul jeta un coup d’œil rapide à l’horloge. Déjà une heure et demie d’écoulée. Il pouvait monter à l’assaut. Il attrapa sa femme et la jeta sur le canapé. En riant, elle releva la croupe et il s’enficha en elle d’un coup dans une levrette digne du plus beau rodéo. Elle accompagnait chaque va-et-vient d’un mouvement de hanche. Les épaules sur un coussin, sa main droite titillant son clitoris, elle jouit sous les coups de Paul qui s’en délecta tout en se retenant. Ne surtout pas jouir tout de suite. Se retenir pour le feu d’artifice final. Il se retira et visa l’œillet sombre. — Carrément ! s’exclama Estelle. — Ce n’est pas tous les jours qu’on dispose d’une telle occasion. Autant en profiter, non ? — Je suis totalement d’accord. Vas-y ! Défonce-moi le cul ! Gentleman, il commença par y mettre un doigt puis deux, préparant le passage pour le gland qui entra sous les râles de sa femme qui se mordillait les lèvres sur le coussin prune du canapé familial. Elle cria quand il s’enficha tout entier bien au fond des ...