1. Arrêt de bus


    Datte: 13/07/2019, Catégories: f, fh, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, hdanus, uro, Auteur: Ailaima, Source: Revebebe

    ... porte s’ouvrit devant lui, laissant apparaître une divine créature, la trentaine, la peau halée par le soleil, des formes pleines et pleine de formes, un regard coquin, un sourire légèrement sadique et une bouche pulpeuse à mordre à pleine dents. Elle ne s’était pas donné la peine de rajuster son peignoir et semblait ressentir le même feu intérieur que lui, un feu qui ne demandait qu’à se développer pour embraser tout alentour.
    
    C’est en ouvrant sa porte qu’elle le vit pour la première fois très distinctement. Il était un peu plus grand qu’elle, pas trop musclé mais juste ce qu’il faut, un mélange de force et de nerveux, avec des yeux qui voulaient la dévorer toute crue. Elle n’avait à aucun moment envisagé des séquelles ou ennuis quelconques suite à ses actes non réfléchis ; elle était seulement portée par cet instinct et cette envie irrépressible de femme en chaleur qui ne veut qu’une chose, baiser.
    
    Elle ne veut pas faire l’amour, non, elle veut juste baiser, des actes crus et passionnés, elle veut baiser avec cet inconnu. Elle veut qu’il éteigne le feu en elle. Elle veut qu’il la prenne comme une bête, comme une chienne. C’est comme ça qu’elle se voyait à cet instant, une chienne en chaleur qui veut se faire puissamment saillir par un mâle en rut. Elle veut de la sauvagerie et de la bestialité, ne pas avoir à réfléchir et se laisser aller. Elle sentait bien que ce sentiment était partagé, elle le voyait dans le regard de l’homme en face d’elle, cette façon qu’il ...
    ... avait de la manger des yeux, ce regard plein de désir. Elle voyait ses narines palpiter. Elle voyait sa poitrine se gonfler et expirer tel un taureau dans l’arène.
    
    Ils s’approchèrent l’un de l’autre. La porte claqua dans leur dos. Ils n’étaient plus qu’à quelques centimètres, n’osaient se toucher.
    
    C’est alors que la bouche de l’homme se jeta sur celle de la femme et ses mains sur son corps. Ils s’embrassaient à n’en plus pouvoir reprendre son souffle. Leur langues se mêlaient et s’emmêlaient dans un échange passionné. Il fit tomber son peignoir à ses pieds, ses mains parcouraient le corps de la femme, ne laissant aucun centimètre carré sans caresses. Sa peau chauffée par le soleil et le désir était aussi douce que de la soie.
    
    Elle lui enleva sa chemise, caressa sa poitrine, pinça ses petits tétons et colla ses seins aux bouts gonflés contre ses pectoraux. Ce contact l’électrisa à un tel point qu’elle en eut un petit orgasme qui liquéfia sa petite chatte déjà brûlante. Une vraie fontaine coulait le long de ses cuisses alors qu’elle s’attelait à défaire le pantalon de l’homme qui lui caressait si savamment le corps.
    
    Il n’avait pas encore caressé son sexe qu’il savait complètement inondé, ayant recueilli un peu de son jus en caressant les cuisses de sa partenaire.
    
    Elle venait d’arriver à bout des boutons et ceinture du pantalon, faisant tomber le tout, sentant une verge bandée au maximum sauter hors des vêtements prête à l’assaut.
    
    Durant tout ce temps leurs bouches ...