Féérie royale au Cap d’Agde (9ème partie)
Datte: 07/05/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Couple-subtil, Source: Hds
... l’autre. Elles s’appliquent donc à le sucer de haut en bas, à lécher ses grosses couilles, à l’emboucher l’une après l’autre sans négliger de s’embrasser à l’occasion.
A ce rythme-là il est rapidement très opérationnel mais, au grand dam de Chrystèle, choisit l’autre blonde et lui demande de s’empaler sur lui. Lançant un regard de victoire aux trois autres femmes, toutes blondes, toutes très belles, elle introduit le large mandrin dans son sexe ruisselant.
Les autres femmes l’entourent, lui lèchent les seins, l’embrassent. Chrystèle a choisi elle de se faire lécher par Christian. Peu de temps. Il les pousse gentiment ? Retourne Chrystèle et la prend en levrette. Elle se sent totalement dominée par l’intromission de celui qui en fait vraiment tout ce qu’il veut depuis un an et le sait. Sadiquement il la pousse à plat ventre sur le lit. Elle sait alors qu’il va la sodomiser. Elle s’y est préparée mais n’est pas fan. Elle s’y prépare en commençant à se caresser. Sent qu’il appuie sur sa corolle après l’avoir badigeonné d’un liquide. Elle sait qu’elle va avoir mal alors qu’il ne lui a même pas encore fait beaucoup de bien. Elle comprend qu’il veut leur montrer, à toutes les quatre, qu’il est le maître. Il s’introduit, pas trop ...
... vite, ce n’est pas trop difficile, ce serait même plutôt bon se surprend-elle à penser.
Il la baise, il la sodomise, il en fait son jouet, la tient par le coup, par les cheveux ; les trois autres femmes sont tétanisées et finissent par les laisser tous les deux. Léopold profite de leur départ pour entrer et assister au coït. Brutal. Sauvage. Il la baise comme un soudard et elle hurle de plaisir. Soudain Christian se retourne et voir Lépoold : « Viens la finir ta pute de femme ; je n’en peux plus ». Chrystèle n’a pas bougé quand il la prend à son tour, profitant de son petit trou si bien ouvert. Elle ne dit rien. Ils sont maintenant tous les deux seuls dans la chambre. Il s’escrime à la baiser mais rien n’y fait. Elle se retourne : « Désolé mais je ne sens rien. Tu comprends ta bite après celle de Christian, c’est un peu limité ». Le voyant si désolé elle le prend dans ses bras. Il pleure presque : « Je dois te le dire, je suis à lui. Il peut faire de moi ce qu’il veut. C’est comme ça, tu n’y peux rien. Je t’aime mais lui c’est mon maître. Tu as voulu jouer à ça mais tu n’es pas de force. Tout ce que je te demande c’est de l’accepter. Demain tu vas rentrer seul et je vais rester le week-end avec lui. Il me ramènera à Paris. »