1. COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (3/4)


    Datte: 06/05/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... chirurgienne, célibataire au grand dam de mes parents espérant la casser.
    
    Pour eux je suis celle qui a réussi, même si je suis femme au foyer, je leur ai donné un petit-fils qui est la prunelle de mes yeux, mais surtout des leurs.
    
    Vingtième, non, mon doigt a appuyé sur dix-neuf, je veux me persuader que c’est une erreur, mais les portes s’ouvrant, je pourrais réappuyer et monter à l’étage supérieur.
    
    Lorsque je passe devant la porte de l’escalier de secours, je pourrais en faire de même, mais je continue les quelques mètres me séparant d’une porte ou sous la sonnette est marquée Yollande X.
    
    Suis-je bête, Yollande X, j’ignore tout d’elle sauf sa langue sur ses lèvres et si je sonne et qu’une vieille dame vient ouvrir devrais-je lui dire que je suis l’employé du gaz venu relever le compteur ?
    
    Je fais demi-tour lorsque la porte s’ouvre, Yollande est bien Yollande, pyjama en soie et déshabillé en même matière.
    
    Elle a un sac-poubelle en main.
    
    • Sandrine, je vois que tu allais repartir, il est vrai que nous nous sommes vu très peu de temps, mais j’ai senti un fluide passé par nos yeux et j’espérais bien te revoir.
    
    De sa main libre, elle me fait entrer et en une fraction de seconde comme dans un rêve elle claque sa porte du pied et me colle le long pour me prendre ma bouche.
    
    Mon expérience avec mon suborneur m’aura appris une chose, j’aime ces situations insolites.
    
    En suis-je arrivée là alors qu’au fond de moi, je sentais que les choses devaient bouger ...
    ... dans ma vie ?
    
    Même pas, j’étais bien, je me satisfaisais de la chance que j’avais d’avoir épousé un homme d’exception ayant gagnée de nombreux concours d’architecture à travers le monde.
    
    Je me satisfaisais de son sexe sachant me combler et m’ayant apporté Jules.
    
    Sa bouche sens la lavande, sa chatte coule lorsque je passe ma main dans le pantalon de son pyjama.
    
    Je sens que ça coule le long de mes jambes, la salope, qu’elle salope je suis, je mouille sans qu’elle ait besoin de me toucher.
    
    Il faut dire qu’une de ses mains a empaumé mon sein et l’autre tient toujours son sac à ordure.
    
    Comment nous nous retrouvons sur son lit, sans que nous nous soyons séparés, je l’ignore, mais nous y sommes et ma langue plonge dans sa touffe rousse odorante à souhait ?
    
    J’écarte sa chatte, quel joli mot, chatte et dire qu’au début le prononcer étais impensable pour moi.
    
    Je l’écarte donc, je coule, elle coule, elle boit, je bois.
    
    Son clito s’exacerbe, le mien aussi.
    
    Nous roulons sur le lit sans bien nous rendre compte de ce qui arrive.
    
    Elle jouit, je jouis nos corps s’embrasant jusqu’à nous retrouver dans les bras l’une de l’autre.
    
    • Sandrine, as-tu vu le massacre ?
    
    Yollande à raison, dans notre délire amoureux, nous avons oublié le sac-poubelle, des pelures de banane, de pommes, de mouchoirs en papier et par chance sans tampons même dans leurs saces.
    
    Le sac de poubelle nous ayant suivis jusqu’au lit, c’est ouvert dans nos débats.
    
    Bonne douche, un baiser ...