Mal aimée suite
Datte: 06/05/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: MG8895, Source: Hds
« Mal aimée suite »
Ils étaient allongés côte à côte, main dans la main. Une heure avait passé, que le temps passe vite ! Lydie avait ouvert les yeux, rougis par les larmes déversées, non qu’elle soit triste, mais elle éprouvait, pour la première fois, tant de bonheur. Elle repensait à son passé, si triste et si consternant.
Un premier compagnon, violant et alcoolique dénué de tendresse et d’attention puis, un second trop occupé par les tâches harassantes de la ferme. Oh lui, il aurait pu, s’il avait su. Mais Robert ne connaissait que le travail. Les loisirs, ce n’est pas pour nous, c’est pour les citadins répétait-il. Et puis, qui ferait manger le peuple, bredouillait-il ? Un devoir national, lui avait dit ses parents, en reprenant l’exploitation, tu seras libre et heureux.
Il te faut une femme, avait surenchéri son père, une bonne épouse qui te donnera des enfants et surtout un garçon, pour qu’il porte ton nom et reprenne la relève et ainsi conserver le domaine. Voilà la ligne directrice donnée à Robert. Il respectait ses parents et leurs conseils. C’est à la fête du village, qu’il fit la connaissance de Lydie. Elle était seule, assise, pendant que son copain était accroché au bar de la buvette. Des mètres de bière devant lui. Il chancelait, vociférait et de fait, délaissait sa belle. Ivre mort, comme souvent, comme toujoursParfois ils rentraient ensemble, arrivés à la maison, il voulait baiser mais il était tellement saoul qu’il ne pouvait bander. Alors, il ...
... voulait qu’elle le suce. Elle s’affairait à le satisfaire, elle le branlait, se forçait à le sucer, enfin elle le tétait, comme les veaux de la ferme, sa bite sentait l’urine, tout pour vous dégouter. Il s’énervait, car sa bite restait molle. Il lui reprochait de ne pas savoir. Il devenait violent, il la faisait mettre en levrette et la doigtait violemment, simulant le coït, sans préparation, il se branlait mais ne bandait toujours pas. Les insultes pleuvaient, les claques sur les fesses, donnés par son pseudo amant, lui faisaient mal, il se prenait sûrement pour un hardeur, se comparant aux acteurs vus dans les films pornographiques, qu’il affectionnait et visionnait fréquemment.
Lorsque qu’il arrivait à bander, il la sodomisait, brusquement et soudainement. Lydie avait mal, très mal. Aucun plaisir avec cette brute. Les fissures anales provoquées par ces assauts bestiales, la faisaient souffrir, elle se soignait comme elle le pouvait. Elle avait trouvé sur le net, une pommade et des suppositoires, elle les avait achetés discrètement. Son calvaire dura 6 mois, jusqu’à cette fête nationale du 14 juillet.
Lorsque Robert aborda Lydie pour la première fois, il s’était montré gentil, attentionné, poli, propre sur lui et surtout sobre. Une première danse, une deuxième et un slow. Robert était patient. En fin de soirée, il raccompagna sa cavalière. Il ne s’était rien passé. Robert avait envie mais, on lui avait dit de ne pas allez trop vite avec les filles, qu’il fallait les faire ...