Elle préfère les vieux...
Datte: 05/05/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... face d’elle et lui montre la protubérance.
-C’est toi la cause.
Elle sourit, et répond :
-Moi ?
-Parfaitement, toi !
Je sors ma queue de sa cachette et lui expose. Ma respiration devient plus courte quand elle se saisit de ma verge entre deux doigts pour la tâter. Elle pince le bout du gland, pour faire bâiller le méat où perle déjà une goutte de sécrétion.
- Oh, oh, elle est grosse, dis donc !
Elle soupèse mes deux boules poilues. Elles deviennent dures immédiatement. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe. Elle tire sur la peau comme une petite fille testant un nouveau jouet.
La petite effrontée, une rougeur diffuse colorant ses joues, ne perd pas du regard ce qu’elle tient à ses doigts. Se permettant même le luxe de se frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Je me dois de garder mon sang froid. Ne pas manœuvrer avec brusquerie. Prendre mon temps pour ne pas l’effrayer.
Je la sort tout de même de sa contemplation en la forçant doucement à se retourner pour la seconde fois, je l’embrasse juste au-dessus des fesses, avant de faire glisser mes lèvres et la pointe de la langue le long de la colonne vertébrale finissant mon voyage dans la nuque.
-Il serait peut-être sage quand s’arrête là ? Fais-je.
-NON ! Répond-t-elle, avec un visage détendu, illuminé, révélant toute sa beauté.
Encouragé, je poursuis alors, lui effleurant les seins du bout des doigts. J’en redessine la parfaite rondeur avant que mes paumes ne viennent les épouser. Tout de ...
... suite mes doigts suivent le profil des seins, effleurant les mamelons gonflés et les tétons tendus qui vibrent sous la caresse. Je presse le sein gauche tandis que, des lèvres, je cueille le bourgeon du sein droit.
La jeune fille frissonne, elle arque les reins et, lâche un soupir. Encouragé je rends un hommage vibrant à sa poitrine. Claire succombe sous le plaisir que je lui offre. Je l’attire jusqu’au salon.
-Non ! Me fait-elle, je préfère qu’en aille dans ma chambre si cela ne te dérange pas.
-Tu es la maîtresse des lieux !
Claire est un puissant aphrodisiaque pour moi. J’ai soif d’elle. Réfrénant mon désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de me brider, je veux d’abord lui faire découvrir le plaisir, devinant avec certitude à quel point la jeune fille est vierge.
Je pose pour ça mes lèvres sur celles de la jeune fille. Instinctivement, Claire s’arque, vient à ma rencontre, ouvre les lèvres et mêle sa langue à la mienne. Le ballet de mes mains reprend sur son corps de la jeune fille, vite rejointes par la bouche. J’embrasse, caresse, lèche, masse consciencieusement chaque parcelle du corps de la jeune fille qui ondule de plus en plus sous mes caresses. Elle a les yeux fermés, concentrée sur les sensations inouïes qui se propagent en elle. Après l’avoir fait languir de longues minutes, j’approche la main de la toison offerte. Mes doigts jouent avec la toison bouclée, la main se posant à plat sur le mont de Vénus qu’elle masse ...