1. TABLE DE SAPIN (19)


    Datte: 05/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... scrutant l’entrejambe, et d’ajoutais : la salope mouillait bien ! Ajoutais-je, qu’alors que venait de dehors, un bruit de moteur s’éloignant.
    
    - Tu ne vas pas me dire qu’elle la portée.
    
    - Oui, bien sûr.
    
    - Et elle te la donnait ? S’exclama-t-elle.
    
    - Tu sais bien qu’on ne me refuse rien, à moi.
    
    - Je vois ça, laissa-t-elle tomber alors que je portais l’entrejambe jusqu’à mes narines.
    
    - Mais tu n’y compte pas ? S’emporta-t-elle.
    
    - Putain qu’elle sent bon de la foufoune, la salope.
    
    - Cochon !
    
    - C’est bien pour ça que tu m’aimes, non ? Cela te dirait de la sentir ? Lui fis-je après avoir éloigner le nylon de mes narines.
    
    - Non merci ! Pas pour moi.
    
    - Mais si, belle maman, si tu veux que je te donne du bon temps !
    
    - Mais dis-moi mon gendre, c’est un dégueulasse chantage.
    
    - Tu t’y feras, cautionnais-je, en lui approchant le textile à hauteur de son nez.
    
    Elle ne fit même pas un geste de recul, se laissant entraîner dans le toboggan de ma perversité. Elle grimaça, en humant la petite lingerie, laissant échapper comme un petit gémissement. Je me mis à palper la vulve, à caresser la motte, mais aussi à cajoler les grandes lèvres. D’un coup, parce que j’en avais une énorme envie, je fis disparaître le bout de mon majeur dans le fente qui béait. Puis les nymphes aspirèrent phalange après phalange le doigt. Je sentis les parois vaginales se contractaient autour de mon majeur.
    
    Comme je l’avais fait déjà mainte fois avec elle, je me mis à la ...
    ... travailler, d’un lent va-et-vient du doigt dans son intimité, et quand je la jugeais échauffée à point, je retirais lentement le doigt graissé de mouille, pour le faire glisser le long du sillon des petites lèvres, jusqu’à aller pincer le clitoris. Elle eut un râle, alors qu’elle m’offrait son intimité à tout mes caprices étonnamment impudiques.
    
    Je la conduis ainsi, jusqu’à l’orgasme. Je profitais qu’elle soit chaude comme la braise pour m’occuper de son cul. D’écarter pour cela le bombé des fesses à l‘aide de mes mains, faisant apparaître la pastille de l'anus d’un brun foncé.
    
    J’étais dans mon élément là. Je commençais par explorer l'orifice que je connaissais parfaitement, pour l‘avoir à plusieurs visité. Mais pour l’instant c’était tendu, replié. J’essayais tout de même de forcer l'ouverture. Comme la porte restait clos, je plongeais l'index dans la chatte, et l’enduit de mouille. Puis je le plaçais sur l'orifice culier et forçais jusqu’à ce que les parois de l'anus cédèrent. Et après plusieurs palpations, la chair se fit plus élastique, assez pour que je puisse rentrer mon doigt dans son entier.
    
    Yeux clos, belle-maman roucoulait avec sur ses lèvres un sourire que je qualifierais d’heureux. Jugeant que son anus était assez élastique pour me recevoir, je remplaçais mon doigt par ma queue. Qui une fois installer au fond de son cul, ce mit à aller et venir dans ses entrailles, et cela jusqu’à l’orgasme.
    
    Après m’être bien soulagé, je lui demandais l’autorisation de me ...
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