La Cravache Rose Ch. 01
Datte: 03/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... vingt coups de canne sur le ventre et le pubis, et vingt sur les seins. Et de vrais coups.
- Qu'en penses-tu Elodie?
- Je... tout ce que vous voudrez
- Tu vois je te dis, je t'envoie les photos ensuite
- Amuse-toi bien, je vais me faire jouir en pensant à ce que je vais lui faire subir à cette pute.
Elodie est au fond du gouffre, j'ai bien fait attention à ce qu'elle n'arrête pas une seconde de se caresser, et sur cette dernière humiliation, je la sens à nouveau jouir. Quelle baise!
Les coups de la punition sont sauvages. D'abord elle est sur le dos, bien plus vulnérable, même si elle ferme les yeux. Les zones, ensuite, sont très sensibles et je lui explique qu'une punition a pour but de marquer la mémoire, qu'elle s'en souviendra. Qu'elle ne doit pas bouger non plus. Chaque coup laisse une marque rouge très nette et très fine, cette fois-ci, Elodie crie, je vois des larmes couler, c'est excitant. Je lui fais écarter les jambes, pour voir son sexe, mais là c'est trop difficile, elle ne mouille pas. Mais ne bouge pas, s'offre magnifiquement, je le lui dis. Les quarante coups terminés, je jette la canne, et je m'allonge sur elle, la pénétrant rapidement. Son sexe ne reste pas sec bien longtemps, elle m'enserre de ses jambes, nos bouches se trouvent, notre câlin est tendre. Je jouis en elle, sans préservatif, j'espère qu'elle se protège.
Je roule sur le côté, nous dormons enlacés l'un à l'autre, cette fille a beaucoup de potentiel, j'espère que ce n'est ...
... pas juste une pulsion en passant et qu'elle ne va pas retourner à son petit train train quotidien.
Quand j'émerge, il est deux heures du matin, Elodie est blottie contre moi, toute chaude, appétissante. Je ne résiste pas, je me glisse de l'autre côté et je la prends en cuillère par son cul sans doute déjà très douloureux. Je veux voir si elle m'accepte, ou bien me rejette. J'avoue que son con tout serré m'excite tout autant. Je rentre de façon étonnante dans son conduit interdit, je l'entends respirer fort, d'abord pour calmer la souffrance, ensuite pour canaliser le plaisir, elle aime être prise ainsi, je lui susurre qu'elle est ma petite chose, ce à quoi elle me répond qu'elle est toute à moi. Je suis divinement bien. Je fais durer le plaisir longuement, mes mains prenant plaisir à découvrir ses seins, marqués par les traces de la punition. Je lui murmure que si elle veut revenir, elle doit s'occuper de l'épilation définitive de son sexe, mais aussi que je veux dorénavant la voir toujours avec des brassières pour mettre en valeur ses très jolis seins. Elle sursaute pour les brassières, mais ne dit rien, et me dit qu'elle fera ce que je veux. Il est temps de la libérer, elle travaille dans quelques heures, et je ne doute qu'elle souffre le martyre de ses fesses et de son cul. Je me retire avec regret.
Je prends sa tête pour lui indiquer que je veux qu'elle me suce. Je m'attends à une résistance bien évidente, pourtant la raison de son sursaut est autre.
- Mon Dieu, ...