1. Lilia.


    Datte: 03/05/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... la voir, pénétrai complètement le doux fourreau de soie, sentant crisser mes poils contre ses jolies fesses.
    
    Lilia m'accueillit dans un râle profond et se redressant, colla son dos à ma poitrine, alors que je maintenais fermement ses hanches, lançant alors un bras derrière ma nuque elle tourna son visage vers le mien et nous échangeâmes un long baiser brûlant...
    
    Nous étions allongés l'un près de l'autre, nous tenant par la main...
    
    — Merci pour la consultation , toubib...Ce fut un plaisir...!
    
    — Plaisir partagé, très chère... J'adore vous prendre comme ça...!
    
    — Moi aussi, j'adore... Quand tu veux, mon chéri... My pleasure*! Mais...et toi?
    
    —Comment ça , moi?
    
    — Tu as peut-être une tique...?
    
    — T'inquiète, s'il y en a une qui me pique, c'est elle qui crève...
    
    Elle rit.
    
    — C'est fait, chérie... miroir de poche.
    
    Le lendemain: « Cuando calienta el sol aquí en la playa... », journée de délices...
    
    Je ne choisis pas la Côte des Basques, trop peuplée à mon goût, mais la bien nommée, Chambre d'Amour... avec ses presque quatre kilomètres de sable et de vagues, nous allions bien arriver à dénicher notre petit coin de paradis.
    
    Je garai ma Lancia au parking derrière la dune... Peu de voitures... c'était de bon augure!
    
    En descendant les escaliers, alors que je contemplais ma Tanagra danser sur les marches, je me rendis compte que la plage était à nous... ou peu s'en fallait... Quelques surfers, des baigneurs au loin... après avoir marché un peu nous ...
    ... posâmes nos serviettes et j'installai le petit pare vent bleu, sans trop me préoccuper du vent, perpendiculairement à la plage...nous abritant des regards.
    
    — Crème, chérie?
    
    — Oui, s'il te plaît, ça chauffe aujourd'hui!
    
    Effectivement, c'était une magnifique journée de plein été.
    
    Ma Lilia sentait bon, mais cette odeur de crème solaire qui a toujours agi sur mes circuits comme un puissant aphrodisiaque, faisait que je ne pouvais me retenir de l’inspirer à plein nez... embrassant le cou gracile, les perles d'érotisme de ses épaules, j'avais défait le haut du joli maillot et caressai les merveilleux petits seins aux aréoles roses...Dans son dos, je n'étais plus présentable...
    
    — Ma Lilia...! Que tu es belle!
    
    Tournant la tête, elle leva son beau regard clair, et murmura:— Merci, chéri.... Viens... embrasse moi.. Oh! J'ai envie...
    
    Je jetai un coup d’œil par dessus le pare-vent...
    
    — Il y a un couple pas loin, ils viennent par ici...
    
    — Je m'en fous... je... ! Embrasse moi...prends moi...! Viens!
    
    Je me tenais dans son dos, la caressant, embrassant son cou délicat, sans plus me préoccuper de qui venait ou non, mon petit amour se collait à moi, m'appelait de tout son corps, de toute sa magie, je caressai d'une main, les petits seins dressés, gonflés de désir, et de l'autre, le joli coquillage, aux ourlets de chair tumescents, y introduisis deux doigts qui glissèrent dans l'antre velouté, ruisselant — <i>Ma Lilia! Mon amour...! Ma joie!</i>— elle s'était mise à ...
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