Les débordements du mage blanc - Histoires de Sexe

Les débordements du mage blanc

... prévu, nous partirons dans deux jours.

À la visite suivante, il faut à nouveau goûter l’urine, c’est Guizet qui doit se charger de l’opération.

— Je ne sens plus trop le goût du sucre, mais un autre a remplacé, pas désagréable.

Le vieux mage, avec encore quelques pousses vertes, commande :

— Majesté, permettez que je fasse un toucher, mon assistant y a décelé une odeur particulière.

Sans-gêne, il commence à inspecter le bas ventre royal, insistant particulièrement sur le clito qui se dresse gaillardement. Portant son doigt à sa bouche, il reconnaît clairement l’odeur de la chair en chaleur, état fréquent des femmes en grossesse.

— Permettez que mon élève relève avec la langue votre jus pour son éducation.
— Je veux bien pour la science, mais il ne doit pas s’arrêter en me laissant en panne, j’ai un nœud au niveau du bas ventre qu’il faut dénouer.
— Je vois, pour calmer ce nœud, il existe plusieurs moyens, des naturels 100 %, c’est-à-dire d’utiliser les mêmes moyens qui vous ont créé la grossesse, pour faire court, un bon coup de queue, des tisanes spéciales, mais je n’en ai pas avec moi et finalement un substitut avec les doigts.
— Je crois que je vais choisir les moyens 100 % naturels, comme je suis déjà grosse, il n’y a pas de risque que je sois mise enceinte à cette occasion, mais votre élève est-il équipé convenablement ?
— Guizet, déshabille-toi et présente ton sexe à la reine, elle veut savoir si tu pourras calmer le nœud qui la gêne dans le bas ...

... ventre.

Rougissant comme une tomate, Guizet baisse son falzar en exhibant un magnifique objet pour le plaisir des dames.

— Il faut que je vous avertisse que Guizet n’est pas expérimenté et que c’est la première fois qu’une dame peut voir son trésor tout neuf.
— Oh ! Comme c’est mignon, un tout neuf pour moi, disant cela elle gicle une abondante quantité de cyprine sur la langue de Guizet qui sur ordre de son mentor continue à lécher consciencieusement la moule.
— Majesté, votre liqueur est un régal pour les papilles.
— Oui, mais maintenant, j’aimerais bien que mon nœud disparaisse, viens donc le piquer avec ton éperon, j’espère que tu peux tenir longtemps.
— Si votre majesté n’y voit pas d’inconvénient, je lui proposerais de piquer ce nœud depuis l’autre côté, par l’entrée de service par les soins de votre humble serviteur.

Après avoir longuement appliqué leur médecine à la reine, elle est très satisfaite de la manière dont s’est déroulée la médication, les nœuds, qui lui font mal dans son bas-ventre, ont disparu ; les deux mages, un peu sur les rotules, partent à la première heure le lendemain, sur des tarns fournis par les tarneries royales.

En arrivant au village royal de Gordon, ils croisent Gamiel qui traîne aussi un ventre proéminent.

— Alors, c’est qui l’heureux père ? Demande l’apprenti mage.
— Je ne sais pas encore, il y a plusieurs possibilités, mais je pense que Gordon n’y est pas tout à fait étranger.

Un peu plus loin, ils arrivent devant un ...