COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison IV (10/13)
Datte: 29/04/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... bouche qui vient dans sa forêt, je lèche avec envie, les sécrétions sortant du corps de celle qui rapidement se tord de plaisir.
Clarisse nous rejoint.
• Dès son retour avant de lui dire que, demain, tu as accepté une invitation avec des échangistes, veux-tu lui faire voir que tu t’es émancipée ?
• Comment, je veux bien suivre un de tes conseils Clarisse !
• Gilbert se rase-t-il avec un rasoir électrique ?
• Non, ce que l’on appelle un coupe-choux et du savon à barbe !
• Encore mieux qu’un rasoir à main, lorsque j’étais jeune, je travaillais dans un salon de soins esthétiques, je faisais des dizaines de tabliers chaque semaine.
Il est dans la salle de bains, reste là je vais le chercher.
J’ai déjà dit qu’elle était féline.
• La salle de bains est à droite en entrant !
Elle doit chercher, car quelques minutes se passent, mais elle revient.
Pendant ces quelques minutes, je reste active, Marie comme elle nous l’a dit est passive, mais fait ce que l’on désire.
Quand ma bouche retrouve la sienne, elle m’embrasse, mais ses bras sont ballants reposant sur les marches.
Je lui prends une main et je la porte sur mon sein qui malgré la fraîcheur de l’eau se tétanise.
Je l’avance vers la bouche de Marie qui se met à me téter.
• Me voilà, je cherchais une bassine !
Elle saute dans l’eau, remplit sa bassine, il y a ce qu’il faut autour de nous.
C’est une vraie experte, mousse à raser en tube et coupe-choux et en quelques minutes, Marie se ...
... retrouve avec un joli triangle brun, pas plus grand qu’un timbre-poste.
La bassine est pleine de ces poils, si on les récupérait, on pourrait en faire une petite perruque.
C’est moi qui profite de la chatte bien taillée de Marie, j’avance ma bouche et je lui titille le clito.
Elle écarte ses grandes lèvres enfin libérées de cette masse qui les encombraient.
Ses cris de plaisir s’estompent, un regard vers le haut en sortant ma langue que je plonge dans sa chatte béante, Clarisse l’embrasse, ses cris étant filtrés comme l’eau de la piscine.
Nous la lâchons quand elle a un orgasme.
Je suis frustrée, car moi aussi j’aurais bien voulu profiter d’une des deux langues faisant couler ma cyprine.
• Gladys, il faut y aller, nos familles nous attendent !
Marie, les dés sont dans tes mains, tes parents ont entouré leur maison de haut mur, pour s’isoler du quartier, lorsqu’il est devenu naturiste et libertin pour certains.
À toi de les abattre et en même temps abattre la tutelle que ton éducation, mais surtout ton père fait peser sur toi.
• Clarisse à raison, Marie, assume-toi comme je viens de le faire au début de ces vacances.
J’étais rempli de préjugés et j’étais en train de perdre mon couple.
Depuis que j’ai brisé mes chaînes moi aussi issu de ma jeunesse, je me sens moi-même et je me sens libre.
Comme Clarisse te l'a dit, si nous sommes là c’est que j’ai rencontré Gilbert en faisant mon jogging.
Nous avons été dans la pinède passer un moment ...