Laurence - Coup de foudre
Datte: 28/04/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
poilu(e)s,
hotel,
amour,
caresses,
Oral
préservati,
confession,
rencontre,
Auteur: Marcdumans, Source: Revebebe
... poche de pantalon, puis je la pénètre comme si c’était une première fois, introduisant ma verge centimètre par centimètre jusqu’aux trois quarts, jusqu’à parvenir au fond d’elle. Je m’allonge sur elle sans bouger. Peau contre peau, nous partageons avec tendresse notre chaleur. Nous nous embrassons longuement. Je sens ses caresses sur le dos, mon cou. C’est délicieux et je parcours ses seins, sa taille et son doux visage.
Nous restons longuement, emboîtés, me contentant de bouger lentement mon bassin pour glisser en elle. Je pourrais rester des heures à peloter ses seins et à l’embrasser et c’est encore elle qui prend l’initiative en ondulant du bassin. Toujours collé à elle, j’entreprends de lents et profonds va-et-vient dans son vagin, en maintenant le même rythme. Ses gémissements font bientôt place à des petits cris. Elle me serre et enfonce ses ongles soignés dans mon dos avant que je n’aie eu le temps d’éjaculer. C’est très bon de sentir son extase, son relâchement et sa respiration profonde et intense.
Je reste sur elle, en elle, durant tout ce temps, toujours en érection. Je n’ai pas envie de me retirer d’elle. Ce corps à corps est si bon, si chaud et si doux !
Je me retire et elle ôte ma capote. Sans mot dire, elle s’allonge contre moi tête-bêche et saisit ma verge, ...
... s’applique à passer sa langue de mes testicules jusqu’au gland. Elle me tient la verge et embouche mon gland.
La magnifique vue sur sa vulve trempée, ses jolies fesses fermes et sa caresse buccale me mettent au supplice. J’ai juste le temps de prononcer un « Je viens… », elle de cesser de me sucer, et des jets puissants de sperme maculent son doux visage et ses cheveux. Elle s’essuie en utilisant le drap.
Nous nous blottissons l’un contre l’autre. Je l’entoure de mes bras et il me semble que nous pourrions rester ainsi tout l’après-midi à sommeiller et à refaire l’amour, plus comme un couple que comme deux amants. Hélas, il est déjà plus de 14 h et si je n’ai à rendre compte qu’à moi-même de mon après-midi, Laurence devrait être à son poste déjà depuis plus d’une demi-heure.
Elle va prendre une douche rapidement, se parfume à l’aide du petit flacon pris dans son sac à main et se rhabille. Elle ne me regarde pas. Regrette-t-elle ce moment ? Elle semble triste, atteinte. Avant de sortir de la chambre, elle m’embrasse longuement avec douceur – passion presque – et s’en va sans se retourner.
Je suis triste moi aussi. Son baiser langoureux me laisse à penser qu’elle a apprécié ce moment. Son mutisme prouve qu’elle est affectée. Mais par quoi ? Il me faut vraiment en savoir plus.